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Dr F. JOET, Tétanos,
le mirage de la vaccination:
«
En 1932, le Dr NEVEU, élève du Pr DELBET, guérit
une petite fille atteinte de diphtérie avec du chlorure
de magnésium (produit en vente¨libre, et très
bon marché). Enthousiasmé par les succès obtenus
sur d'autres malades atteints de diphtérie et de tétanos,
le Dr NEVEU désira faire présenter un rapport à l'Académie
de médecine.
Le Pr DELBET lui même, membre de l'Académie de médecine
tenta de présenter ce rapport devant cet auditoire. Il écrivit
au Dr NEVEU:
«
La publication de ma communication est définitivement refusée.
Le Conseil de l'Académie a trouvé, après 6 mois de réflexion,
l'argument suivant : En faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie
et du tétanos, on empêcherait les vaccinations… »
«…L'Académie de Médecine a donc délibérément
décidé d'étouffer un traitement qui aurait pu sauver des
milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer une vaccination.
Cela prouve quels puissants intérêts dictent à l'Académie
sa conduite!... »
Dr Henri QUIQUANDON, 12 balles pour
un véto, (Éd.
Agriculture et Vie 1978), p. 199 :
«…
L'obligation de la vaccination antiaphteuse (pour les animaux)
avait été décidée en 1962, ce qui avait
immédiatement abouti, avec des subventions de l'État, à la
construction d'usines pour la fabrication du dit vaccin. Or, quelques
années auparavant, un bactériologiste R. BORDET avait
mis au point un filtrat neutre stabilisé de culture d'Agrobacterium
tumefaciens et d'une sélection de bactériacées
du genre phytomonas. Il y avait en tout une vingtaine de souches.
Le produit se conservait deux ans, sans précautions spéciales.
Deux injections intramusculaires à 48 heures d'intervalle
suffisaient pour assurer une guérison rapide, en quelques
jours, juguler une épidémie, et ce sans séquelles
ni pertes économiques.
Les résultats ont été constatés par
de nombreux vétérinaires, sur environ 20.000 têtes
de bétail. Des essais ont également été effectués
sur la maladie de carré du chien, dans la peste porcine
et chez l'homme contre le zona avec des résultats rapides,
des guérisons totales. Ce produit a été commercialisé une
1re fois sous le nom d'Anavirus, 15 jours plus tard, il était
interdit par le Ministère de l'Agriculture. BORDET le ressortit
sous le nom de Paravirus, la même interdiction fut à nouveau
formulée. Pierre BELLEMARE s'empara de l'affaire à Europe
1 et, dans une ferme de Normandie, devant deux huissiers et 2 vétérinaires,
si mes souvenirs sont exacts, fit injecter l'Anavirus aux 50 vaches
normandes qui venaient d'être atteintes par l'épizootie
aphteuse.
Une semaine plus tard, toujours en présence des huissiers
et de mes deux confrères, Pierre BELLEMARE dut se rendre à l'évidence
: tous les animaux étaient parfaitement guéris, la
production laitière atteignant son chiffre initial d'avant
l'épizootie.
Mais les mérites du Paravirus ne s'arrêtent pas aux
animaux. Catherine LANGEAIS que tous les téléspectateurs
français connaissent, était devenue aveugle, et avait
dû abandonner son poste de speakrine à la Télévision.
Elle a été totalement guérie par le Paravirus
(Paris-Match n° 657, 1959, p. 16)…
Les grands laboratoires sont parvenus à étouffer
l'affaire et même, sauf erreur, à encaisser une subvention
importante destinée à BORDET, et votée par
le Parlement. Un véritable scandale…
Le brevet de fabrication… dort actuellement tranquillement
dans les tiroirs d'un grand institut… Pendant ce temps, vaccinons, ça
rapporte quand même davantage…»
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