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Sylvie SIMON,
La Dictature Médico-scientifique :
«
Le taux de mortalité par la variole s'élevait à 10
% aux Philippines lorsque les U.S.A. prirent possession des îles
en 1905. Entre 1905 et 1906, à la suite d'une campagne de
vaccination massive, une épidémie fit mourir 25 %
de la population. Entre 1918 et 1920, alors que l'armée
américaine venait d'obliger 95 % de la population à se
faire vacciner une terrible épidémie emporta, cette
fois, 54 % de la population. Manille où le pourcentage de
gens vaccinés était le plus fort (la presque totalité de
la population), fut la plus touchée (65,3 %) alors que l'île
de Mindanao ne fut touchée qu'à 11,4 %. Curieusement
dans cette île, les indigènes avaient refusé de
se faire vacciner…»
Dr Robert RENDU,
Faculté de Médecine de Lyon, La Presse Médicale,
1949 :
«
Entre 1943 et 1947, 5 millions au moins d'enfants ont été vaccinés
(contre le tétanos), soit plus de la moitié de la
population, âgée de 1 à 14 ans. Cette vaccination
massive aurait dû entraîner une diminution considérable
du nombre de décès, or les statistiques officielles
montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos
n'a guère varié de 1943 à 1947. (Un décès
en moyenne par département et par an) »
Pr Michel REY, Impact Médecin
Hebdo, 13 octobre 1995 :
«
La protection conférée par la vaccination (antidiphtérique)
dure moins longtemps que l'immunité naturelle et n'est plus
que de 50 %, 10 ans après la vaccination, alors que 90 %
des adultes sont naturellement immunisés avant d'être
vaccinés…»
Le Point, 23 janvier 1993,
«
Tuberculeuses et pourtant vaccinées» :
« Les quelque cent infirmières des Hôpitaux de l'Assistance
Publique de Paris qui ont été contaminées ces cinq dernières
années étaient vaccinées…»
Jean-Yves NAU, Le Monde, 2 février
1987 :
Importante épidémie de poliomyélite en Afrique
de l'Ouest en 1986 :
«
Près de 200 des enfants que l'on croyait correctement vaccinés
ont contracté la maladie. Certains sont morts. Les études épidémiologiques
franco-américaines menées sur le terrain n'ont pas
encore permis de comprendre les raisons exactes d'un tel phénomène…»
Dépêche AFP, 1er février
1997 :
«
La quasi totalité des cas de poliomyélite recensés
aux U.S.A., de 1980 à 1994, a été causée
par l'administration du vaccin oral atténué…»
Sylvie SIMON, La Dictature Médico-scientifique
:
«
Grâce à l'amélioration des conditions d'hygiène,
la poliomyélite avait disparu en Albanie, comme dans bien
d'autres pays. Malheureusement le gouvernement et les autorités
sanitaires de ce pays ont décidé de pratiquer une
vaccination de masse dans le cadre d'une campagne de prévention.
En avril 1996, on a alors administré le vaccin Sabin à virus
vivant atténué à la population de tout âge… Selon
les statistiques officielles…on a enregistré 90 cas
de polio, dont 12 mortels… »
The Lancet, 1er janvier 1994 :
«
54 % des personnes atteintes par une toute récente poussée
de poliomyélite en Namibie (Nov. 1983) étaient toutes
vaccinées dans les règles contre la poliomyélite…»
L'Événement du Jeudi,
5 au 11 mars 1992 :
«
Les Américains, malgré une politique musclée
de prévention contre la rougeole, voient l'une des plus
agressives maladies infantiles augmenter régulièrement
chez les nourrissons. Nés de mères vaccinées,
les bébés hériteraient d'anticorps moins résistants
que ceux provoqués par une rougeole naturelle…»
Dr Louis DE BROUWER, (Vaccination
erreur médicale du siècle)
:
«
… Les Français, manipulés et désinformés
en sont venus à considérer l'acte vaccinal comme le
baptême : hors vaccin pas de salut.
Or, il n'a jamais été prouvé scientifiquement
que les vaccins étaient efficaces et sans danger…Le
principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur
médicale et scientifique du siècle et mène
l'humanité à une disparition prématurée.
On ne compte plus aujourd'hui les cas de mort subite du nourrisson,
sclérose en plaques, maladie d'Alzheimer, cancers, dermatoses,
et d'affections nouvelles incurables dues aux vaccins…
L'individu vacciné est devenu un véritable réservoir à virus…»
En Angleterre, en mai 1871, les autorités médicales
affirmaient que 87.5% de toute la population avait été vaccinée.
L'année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie
de variole de toute son histoire, ce qui tua 44,840 personnes.
En Ecosse, entre 1855-1875, plus de 9,000
enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que le pays était à cette époque
l'un des plus vaccinés du monde.
En Allemagne, dans les
années 1870-71, 100,000 personnes eurent la
variole, dont 20'000 succombèrent à la maladie.
96% d'entre elles avaient été vaccinées.
En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux
qui étaient
vaccinés que parmi ceux qui ne l'étaient pas.
Dans son livre The Vaccination Superstition, le Dr. J.W. Hodge
note: "Après
une soigneuse considération de l'histoire de la vaccination
ramassée à même une étude impartiale
et compréhensible de statistiques vivantes et de données
pertinentes provenant de source sûre, et à la
suite d'une expérience à partir du fait d'avoir
vacciné 3
000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination
ne peut être
montrée comme ayant quelque relation logique avec la
diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont
mortes de la
variole qu'ils contractèrent après avoir été vaccinées."
Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens
en disant que lors des décennies précédentes
en Grande-Bretagne, 75% de ceux ayant contracté la variole
avait été vaccinés.
Des cas de poliomyélite se déclarèrent au
Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des populations à grande
majorité vaccinées.
En 1987, à l'Université d'Alberta, une épidémie d'oreillons ravagea le campus malgré un
taux de vaccination de 98%.
Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole,
plus de 58% des enfants avaient été vaccinés.
D.M. Johnson dans le Journal of the American Medical
Association (1969) rapporte des cas de mort par tétanos chez des individus
dûment vaccinés.
En 1941, la majorité des enfants
de France étaient vaccinés contre la diphtérie,
ce qui n'empêcha pas les cas de diphtérie de
tripler en 1943.
Les docteur Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales
du Ministère de la Santé de l'Ecosse le fait que,
durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas
de diphtérie furent déclarés sur des enfants
déjà vaccinés, entraînant la mort
de 180 d'entre eux.
Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès
de 260 000 personnes, le BCG s'avéra plus qu'inefficace:
il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés
que dans le groupe placebo.
En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination
de masse.
Dans les années 50, aux Etats-Unis, après
une année de vaccination massive contre la poliomyélite
, les cas de cette maladie augmentèrent de 300 % dans les états
qui vaccinaient. Les cas de poliomyélite en
Angleterre entre
1923 et 1953 diminuèrent de 53% avant même l'introduction
des vaccinations de masse.
En 1992, en Grande-Bretagne, deux vaccins contre la rougeole
(Pluserix, Immravax) furent bannis après avoir causé chez de
nombreux enfants vaccinés la méningite, la surdité,
la paralysie et des troubles de la vision.
Le New England Journal of Medecine (1987) dans un article
de Tracy Gustafson, écrit qu'entre 1983 et 1990, des épidémies
de rougeole se déclarèrent aux Etats-Unis chez des
enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant démontré des
anticorps contre la maladie.
Philip Incao, médecin dans une épidémie
de rougeole à Corpus Christie, Texas (Etats-Unis)
en 1985, 99% des enfants atteints avaient été vaccinés;
12% d'entre eux avaient même reçu un 2e rappel.
Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l'Hôpital
de Vancouver a découvert que 30% des adultes ayant été exposés
au vaccin contre la rubéole, souffrirent d'arthrite allant
de jointures endolories jusqu'à un handicap sévère,
deux ou quatre semaines suivant la vaccination .
En 197l, à Casper,
Wyoming (Etats-Unis) une épidémie de rubéole éclata
un an après que 83% des enfants en âge scolaire de
la ville aient été vaccinés contre la
maladie.
A Birmingham , en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées
et vaccinées contre la grippe démontrèrent
le double de problèmes respiratoires qu'un groupe similaire
non vacciné.
En 1905, le taux de mortalité due à la
variole s'élevait, aux Philippines, à 10%. Après
une vaccination massive, se déclara une épidémie
qui frappa mortellement 25% de la population - dûment vaccinée.
Malgré cet échec, les autorités intensifièrent
les vaccinations.
En 1918, la pire épidémie
tua 54 % des gens, alors que la population était vaccinée à 95
%. Manille, la capitale, où les habitants étaient
tous vaccinés et revaccinés, fut la plus touchée:
65,3 %. Lîle de Mindanao, où les indigènes
avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée:
11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccinadon antivariolique
continua et l'O.M.S. lança, en 1966, une campagne mondiale
qui dura 10 ans et fut abandonnée en raison de son inefficacité.
Un nombre impressionnant d'articles publiés dans des revues
scientifiques font état de sévères complications
auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre
l'hépatite B: nausées, vomissements, diarrhée,
fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques,
zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré,
névrite optique, conjonctivite, troubles de la vison, sclérose
en plaques, diabète. Aussi des cas d'arthrite, de rhumatisme,
de problèmes de foie, d'asthme et même des décès.
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