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Elle permet de tuer les gens
d'une certaine race et laisser les autres à peu près indemnes. Elle donne
la possibilité d'intervenir sur le patrimoine héréditaire
de qui on veut. Une nouvelle spécialité est née,
l'ingénierie génétique. Elle connaît
un succès florissant, jouit de beaucoup de prestige et se
voit attribuer d'énormes fonds de recherche. Le défi
est de taille: trouver un vaccin qui provoque une maladie contre
laquelle nous avons déjà le vaccin! Gagner cet enjeu
permettrait d'envoyer des troupes déjà vaccinées
contre le vaccin meurtrier qu'elles diffuseraient chez l'ennemi...
C'EST DE LA PURE FOLIE!
En attendant, le vol industriel sévit. Le Capitaine et biologiste
de PUS Navy à Fort Detrick, Neil Levitt, a signalé la
disparition de 2.35 litres d'un vaccin expérimental; dose
suffisante pour contaminer la population de la terre entière.
Où est-il passé?... Fort Detrick est un laboratoire
de recherche qui fabrique des vaccins. Il est situé tout
près de Washington, dans le Maryland, et il est rattaché au
N. CI. (National Cancer Institute), à Bethesda, banlieue
de la capitale. Autre fait étonnant: l'Université de
Berkeley paye toutes les factures pour le Centre National Médical
Naval. Pas étonnant, alors, que l'on retrouve, étroitement
entremêlés dans toutes les campagnes de vaccination à la
fois le gouvernement, l'armée, l'O.M.S., les financiers,
les chercheurs, les laboratoires, les universitaires, la CJA.,
la Banque Mondiale...
Réalisons que:
Sous couvert de la défense, sont fabriquées
les armes les plus meurtrières qui soient. La guerre, qu'elle
soit biologique ou non, c'est la guerre. Et les armes, ça
tue. La guerre biologique est un gigantesque business largement
financé PAR NOS FONDS par le biais de l'armée, de
la recherche et de nos dons. Financé aussi PAR NOS
VIES,
celles de nos enfants et celles de millions d'innocents sacrifiés.
Ce sont nous, les Occidentaux, qui en acceptant la contrainte vaccinale
chez nous et à l'étranger, sommes responsables de
nos maladies et des génocides dans le monde.
Manufacturing Consent - Naom Chomski
LE MARKETING est une technique plutôt récente qui
comporte plusieurs volets: information, publicité, éducation,
influence, lobbying, reportages, messages, leitmotive, gadgets,
etc. Il peut être écrit, oral, silencieux, subliminal.
il peut être ouvert, subtil, caché. C'est la science
de la manipulation. On l'enseigne à l'université.
Cet art de l'efficacité a ses diplômés, ses
spécialistes. Le BUT du marketing, quel que soit le produit
en cause, est de créer une demande (ou un besoin) chez le "consommateur" pour
l'amener à consommer des produits qu'il ne consommerait
pas spontanément soit parce qu'il n'en veut pas, soit parce
qu'il n'en a pas besoin.
LE MARKETING SOCIAL appelé aussi ingénierie
sociale est identique au
marketing conventionnel sauf pour le produit de consommation: il
vend des idées. Il amène donc le "consommateur" à consommer
- c'est-à-dire à faire siennes des idées
qui lui sont étrangères et qui peuvent der à l'encontre
de ses idées propres, de son bon sens naturel. Le BUT du
marketing social est la soumission de la conscience. il réussit à endormir
notre conscience pour nous mener où il veut. il prive l'homme
de son pouvoir de choisir. C'est ce que Beauvais et joule appellent
la "soumission librement consentie": "elle amène
la personne finalement à penser, à décider, à se
comporter en toute liberté mais différemment de ce
qu'elle aurait fait spontanément".
LE MARKETING SOCIAL MÉDICAL, c'est la science du marketing
social appliqué au domaine de la santé. il consiste à VENDRE LA
MALADIE À DES GENS QUI VEULENT LA SANTÉ.
Le réfrigérateur a fait plus pour la santé que
les antibiotiques.
LE MARKETING SOCIAL DE LA VACCINATION: son but est de vendre
l'idée
de la nécessité de la vaccination à des gens
qui ne l'ont pas ou qui n'en veulent pas. Le que résultat
visé est de soumettre 95 % de la population aux vaccinations
que les autorités à auront décidé d'imposer.
Il comporte trois étapes qui s'intensifient avec le degré de
résistance à la soumission:
1. la manipulation 2. l'organisation 3. la répression.
1ère étape, la manipulation: la soumission
consentie
Elle contamine tous les domaines:
Il est plus facile pour l'homme de briser un atome que
de briser un préjugé." Robert Einstein
- L'ÉDUCATION. Non contentes de nous avoir inculqué la
croyance que les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les
autorités entretiennent une autre légende tout aussi
dépourvue de fondement: les vaccinations auraient enrayé les
grandes épidémies. Or, les épidémies
avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont
apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits
par l'establishment) sont très éloquents sur ce sujet
et démontrent que la régression des grandes maladies
est due à l'amélioration des conditions de vie, et
notamment de l'hygiène. Ce lessivage de cerveau s'appelle
de "l'éducation sanitaire" ou de "l'hygiène
publique". Toutes les personnes qui oeuvrent dans le domaine
de la santé reçoivent cette formation mensongère
concernant la vaccination. Elles la transmettent sans vérifier
et permettent ainsi à la vaccination de devenir une agression
aussi "normale" que la violence et la guerre à la
télévision.
- LE VOCABULAIRE. Les autorités ont l'art de diffuser des
expressions qui façonnent nos idées et notre comportement.
Ainsi, l'hiver devient "la saison de la grippe". D'où la
pensée d'épidémie de grippe, d'où besoin
du vaccin contre la grippe. Et le tour est joué! Le marketing
social va encore plus loin. il nous fait croire que les personnes âgées
sont plus vulnérables aux maladies, donc à la grippe
en hiver, d'où la nécessité de toutes les
vacciner. Et, pour les protéger davantage, vacciner aussi
tout le personnel préposé à leurs soins! Cela
s'appelle le gérontocide.
Un des initiateurs du vaccin contre la grippe répète
régulièrement à ses amis: "Si tu veux
hériter rapidement, vaccine ta grand-mère contre
la grippe !'
- L'ÉMOTION. Pas n'importe laquelle: la peur. Le concept
de la vaccination repose sur le TANDEM PEUR-PROTECTION. On nous
fait peur puis on accourt nous protéger. Sommes-nous si
impuissants et démunis que nous ayons besoin de protection?
La manipulation nous fait croire que oui. Nous nous faisons entretenir
par nos protecteurs. Comme dans la Mafia. Mais ça coûte
cher, la protection! Pour être encore plus efficace, le marketing
social joue sur une autre émotion, plus perverse encore:
la culpabilité. "Si je ne fais pas vacciner mon enfant
et qu'il attrape une maladie, je m'en voudrai pour le reste de
mes jours..." Et s'il meurt de la mort subite du nourrisson
ou fait une leucémie à trois ans ou une sclérose
en plaques plus tard parce que nous l'avons fait vacciner, que
dira notre belle conscience? De plus, qui sommes-nous pour prendre
sur nous la responsabilité du sort des autres?
- L'INFLUENCE. Il faut faire comme les autres. Si tout le
monde le fait, c'est sûrement bien. Mais avons-nous oublié les
moutons de Panurge ? On suit la mode vestimentaire, alimentaire,
musicale... et vaccinale. Surtout ne pas se poser de question.
Les autorités qui, elles, savent mieux que nous, disent
toutes que c'est bien. Comment penser différemment? On appelle
cela la pression sociale. Elle est orchestrée par l'Establishment & associés
(financier, politique, médiatique, industriel, médical,
d'assurances, religieux, artistique, universitaire) et est disséminée
par le marketing social.
- LA MORALE. Les autorités parlent de "droit à la
santé pour tous"... qui dit mieux? Or, qui dit droit,
dit devoir. D'où le "devoir social" de se faire
vacciner. Y "échapper" serait refuser la santé pour
tous. Quel manque d'éthique et de conscience sociale! En
bon citoyen, on remplit ses devoirs et on se fait vacciner. Et
le tour est joué, le marketing social a bien fonctionné.
- L'INFORMATION. Médicale ou non médicale, l'information
est l'objet des soins jaloux de l'establishment. C'est l'outil
de diffusion du marketing social. La pression de la censure (déguisée
bien entendu, puisque la presse est "fibre") est si forte
que les journalistes finissent par s'autocensurer. Ils savent que
certaines informations ne peuvent pas être diffusées.
Sinon, l'organe de presse ("indépendant") sera
privé de son soutien, la publicité (Le. les multinationales)
sans lequel il ne peut vivre et le journaliste, muté aux "chiens écrasés".
Les journalistes transmettent l'information qui leur vient des
autorités et la reproduisent sans trop en douter. Dans un
domaine aussi bien protégé que la vaccination, ils
ne doivent pas se poser des questions. S'ils s'en posent trop,
on coupe leurs textes... puis on coupe leur poste... Toutefois,
certains le font. C'est ainsi que le programme "60 Minutes" a
présenté, sur le réseau américain en
1979, une enquête sur la campagne de vaccination massive
contre la fièvre porcine aux U.S.A. en 1976. Ce vaccin engendra
tellement de complications (surtout neurologiques), de paralysies
et de morts que des poursuites énormes furent intentées.
Cette émission fait étalage du marketing social dans
toute sa splendeur. Tous les ingrédients y sont. je vous
encourage vivement à la regarder si vous voulez connaître
les rouages d'une campagne de vaccination massive.
2e étape, l'organisation: la soumission MOINS consentie
Elle assure l'efficacité de la manipulation. Elle consiste
en un système de contrôle par fichage de la population
et des médecins. Tous sont fichés sur ordinateur
et on les suit à la trace. On s'assure que chaque citoyen
reçoit ses vaccins régulièrement et que chaque
médecin les donne. On dresse des listes, on fait des fiches,
on impose des carnets de vaccination... personne n'y échappe.
Les négligents sont immédiatement rappelés à l'ordre.
C'est l'embrigadement systématique. Big Brother veille sur
votre santé!
3e étape, la répression: la soumission NON
consentie
Elle punit les insoumis. Pour s'assurer l'obéissance, les
autorités font des lois. Obligatoires au tout début
du siècle, les vaccins le sont encore dans plusieurs pays,
notamment aux U.S.A. et en France. Quand les gens prennent conscience
de la réalité des vaccinations, l'insoumission s'installe.
Quand les résistances sont trop fortes, l'O.M.S. passe
en douce de nouvelles lois, comme la Convention des Droits
de l'Enfant.
Les insoumis se voient interdire l'accès des garderies (ou
crèches), des écoles, des universités, de
certains hôpitaux ou cliniques. Ils ne peuvent voyager à l'étranger.
Ils se voient interdire l'exercice de certains métiers.
Ils sont harcelés continuellement par les autorités
médicales, administratives, scolaires... Ils sont les moutons
noirs du beau programme de "la santé pour tous".
Les grands insoumis se font imposer des amendes, perdent
le droit de pratiquer la médecine, se font mettre
en prison, ou vacciner de force.
Réalisons que:
tout ce réseau hiérarchique relève du
commandement du:
- ministère national de la Santé: Donna Gouvernementa,
lui-même sous le commandement du
- ministère mondial de la Santé: sainte
O.M.S.
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