Le Concours Médical,
19 septembre 1987 :
«
La carte d'incidence maximale du SIDA en Afrique correspondrait à celle
où l'ultime effort d'éradication de la variole aurait été accompli.
C'est cette introduction massive du virus vaccinal au sein d'une
population séropositive mais dormante qui pourrait avoir
donné le coup d'envoi au phénomène SIDA… »
Pr, Robert GALLO, Le Times:
«
J'ai toujours dit que l'usage de vaccins de virus vivants, comme
l'on pratique en Afrique, peut activer un virus endormi comme celui
du SIDA…»
Déclaration d'un conseiller auprès
de l'O.M.S., Times, Il mai 1987 :
«
Maintenant je suis convaincu que la théorie mettant en cause
la vaccination antivariolique est bien l'explication de l'explosion
du SIDA…»
BIOCONTACT, janvier 1996 :
«
Il semble donc hautement probable que ce vaccin polio buvable,
le fameux Sabin, préparé par culture sur ces singes
verts d'Afrique, était contaminé par le virus STLV3,
et que ce virus était peut-être le 1er chaînon évolutif
expliquant l'apparition du virus VIH. Comment s'étonner
par conséquent de l'extension incroyablement foudroyante
de l'épidémie d'infection par le VIH, quand on connaît
la qualité de la couverture médicale vaccinale mondiale
vis-à-vis de la poliomyélite »
The Lancet, 1995-1071-4 :
« Une étude Britannique met en cause le vaccin antirougeoleux dans
la fréquence des maladies de Crohn et recto-colites ulcéro-hémorragiques
(qui sont des maladies auto-immunes) de façon irréfutable (2,5 à 3
fois plus de cas chez les vaccinés sur un groupe de 3.545 personnes contre
22.000 sujets témoins - avec présence du virus de la rougeole dans
les prélèvements intestinaux biopsiques). »
Panorama du médecin, 29 novembre
1994 :
« Augmentation des cas de rougeole chez les personnes vaccinées…3
% en 1985 contre 27 % en 1994. Les maladies infantiles, bénignes chez
l'enfant, sont de plus en plus fréquentes chez les adultes et les formes
graves semblent s'accroître…»
Dr ODENT,
Guide des vaccinations, Direction Générale de la
santé:
« Fréquence de toutes maladies, particulièrement otites et
crises d'asthme chez les enfants vaccinés…Les enfants non vaccinés
sont en meilleure santé…»
La Recherche, avril 1995 :
« Une trentaine de cas de scléroses en plaques post-vaccinales sont
soignés au service de neurologie de l'hôpital de la Salpétrière à Paris »
Pr Olivier GOUT, Chef de Clinique,
La Salpétrière,
VSD, 14 novembre 1996 :
« Effectivement nous soignons ces maladies et des recherches sont en cours
sur l'imputabilité du vaccin Il est trop tôt pour livrer des conclusions,
mais il semble bien y avoir quelque chose »
Sylvie SIMON,
La Dictature Médico-scientijique, p. 184 :
« La propagande abusive pour la vaccination contre l'hépatite B
a commencé dès le mois de juillet 1994. Après avoir conclu
un marché avec Smith Kline pour le vaccin Engerix, Philippe DOUSTE-BLAZY,
alors Ministre de la santé, a envoyé une circulaire aux recteurs
d'Académie pour demander d'inscrire la vaccination des élèves
de 6e et de 4e parmi les priorités pour l'année 1994-1995... »
Françoise JOET, Le Courrier
d'Alis :
«
Est-ce que les enseignants français feraient désormais
partie de la filière santé? Quel est réellement
le rôle de chacun ? D'aider à remplir les caisses
de l'entreprise Smith Kline Beecham et de vider celles de la Sécurité Sociale
?… »
Dr Alain SCOHY :
«
L'accumulation des vaccins de toute nature tous azimuts sans le
moindre intérêt thérapeutique, curatif ou préventif, épuise
et affole le système immunitaire, ce qui est la base indispensable à l'installation
de la maladie Sida. Le nouveau vaccin contre l'hépatite
B risque fort d'être la goutte d'eau qui fera déborder
le vase... » «... Le vaccin contre l'hépatite
B présente de réels dangers pour ceux qui le recevront…»
«
En plus de ce risque de contamination, soit par des prions (les
cellules sont nourries avec du sérum de veau), soit par
des virus inconnus à ce jour, ce vaccin inocule de façon
absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes,
et des résidus d'outils de manipulations génétiques
qui pourraient bien être à l'origine de cas de tératogenèse.
Par ailleurs ces vaccins sont à l'étude : on ne pourra
en mesurer l'éventuelle efficacité comme la nocivité que
dans 15 ou 20 ans, d'après leurs promoteurs, ce qui fait
que toutes les personnes inoculées sont en fait, à leur
insu, des cobayes! » « Tout ceci pour éviter
une maladie complètement hypothétique qui a tendance à régresser
spontanément dans nos pays, et qui guérit, sans traitement,
dans 9 cas sur 10…»
Michel GEORGET, agrégé de biologie, Professeur honoraire
des classes préparatoires aux grandes Écoles biologiques:
«
Quand on sait que l'immunité accordée au vaccin est
de courte durée et que l'hépatite B se transmet essentiellement
par les relations sexuelles et la toxicomanie intraveineuse, on
imagine le bénéfice que les bambins vont retirer
d'une telle opération…Les vaccinations de masse se
font dans un contexte d'incertitude: des procédés
de fabrication qui ne peuvent garantir des produits totalement
purs, des individus tous différents, dont les capacités
de défense ne sont jamais testées avant, ni vérifiées
après la vaccination.
Dans ces conditions, n'est-il pas urgent de réfléchir
aux conséquences à long terme des vaccinations ? »
Mirko BELJANSKI, ancien Directeur de recherche au C.N.R.S. :
«
Le vaccin contre l'hépatite B issu du génie génétique,
contient 10/15 fois plus d'activité dangereuse (TdT) que
le vaccin traditionnel. Pourquoi tout ceci n' a-t-il pas été contrôlé avant
la diffusion par les puissants laboratoires qui sont derrière
ces vaccins? »
Françoise JOET, Courrier d'Alis, n° 13
:
«
Le plus extraordinaire est que l'on continue à prôner
ce vaccin, que les campagnes de vaccination redoublent de zèle,
pour inciter les individus à se faire vacciner, alors que
pratiquement dès le début de son utilisation, on
savait qu'il pouvait déclencher des scléroses en
plaques, tout spécialement chez les personnes porteuses
du gène HLA DRE.
La mention de la sclérose en plaques figure parmi les effets
indésirables de ce vaccin dans toutes les notices qui l'accompagnent.
Comment laisser pratiquer ce jeu de roulette russe par des gens
assez cyniques pour prétendre, en toute connaissance des
dangers liés à ce vaccin, qu'ils agissent pour le
bien de l'humanité ? »
Pr PARIENTE, Le Concours Médical,
20 janvier 1974 :
«
Le système immunitaire s'avère particulièrement
endommagé à la suite de vaccinations de routine…»
«
…Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri
chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants…»
Le Quotidien du Médecin,
9 mai 1996 :
«
...Une simulation antigénétique, en l'occurrence
un rappel de vaccin antitétanique, augmente transitoirement
l'expression du VIH1 chez les personnes infectées, et rend
plus susceptibles au virus les personnes non infectées... »
Celui qui vient, p. 143, citation du Dr SCOHY :
«
…La guerre du Golfe pendant l'hiver 1991, aurait dû nous
servir de leçon. 50.000 G.I. américains environ sont
envoyés là-bas, et subissent au moins 4 vaccins…»
«
…20.000 anciens soldats sont malades aujourd'hui. 2.000 sont
décédés. Surtout il y a eu en 3 ans 2.000 naissances
d'enfants gravement anormaux... »
Dr Louis DE BROUWER (précité)
:
«
Du fait des vaccinations, les individus sont devenus de véritables
réservoirs à virus, et leurs défenses immunitaires
sont tellement amoindries que de nouvelles affections incurables
et gravissimes apparaissent chaque jour…»
L'impatient, juin 1996 :
«
Hépatite B : LE SCANDALE »
Le Monde, 5 décembre 1996
:
«
...Controverse sur l'innocuité du vaccin contre l'hépatite
B…»
Science et avenir, janvier 1997 :
«
6 millions de français vaccinés abusivement.
Coût pour la collectivité : 1 à 2 milliards
de francs par an »
Le progrès (Lyon), 11 février
1997 :
« Hépatite B : les victimes veulent la vérité sur
le vaccin. » Dr Robert Janiak : « Je n'aurai jamais dû être
vacciné. 4 % des gens possèdent le même typage HLA que moi,
et au total 17 % ont un phénotype à risque. Pour eux la vaccination
est une loterie sordide »
L'INEFFICACITÉ des vaccins à protéger
contre les maladies:
- la vaccination peut provoquer la maladie qu'elle est censée
prévenir.
- la personne vaccinée peut transmettre la maladie, même
sans être malade elle-même.
- la vaccination peut sensibiliser la personne à la maladie.
L'INUTILITÉ évidente de certains vaccins,
notamment pour les maladies telles que:
- la tuberculose et le tétanos qui ne confèrent pas
d'immunité, jamais. Le fait d'avoir eu la tuberculose ne
nous empêche pas de récidiver. Au contraire, une première
tuberculose (parfois causée par le vaccin) rend la personne
beaucoup plus vulnérable à un second épisode,
souvent mortel.
- la rubéole où 90% des femmes d'une population sont
naturellement protégées et que les risques de contracter
la maladie sont limités aux 3 premiers mois de la grossesse.
Or on vaccine toute la population, y compris les garçons.
- la diphtérie qui, au moment des plus grandes épidémies,
ne touchait que 7 % des enfants. or, on les vaccine tous. Plus
encore, on vaccine de façon répétée
enfants et adultes, bien qu'on prétende qu'un seul vaccin
reçu dans l'enfance assure l'immunité ad vitam.
"
L'enfant Vacciné est un enfant contaminé.', - Kalmar
"
Vacciner, c'est remplacer une immunité naturelle par une
immunité artificielle." - Simone Delarue
- la grippe et l'hépatite B dont les virus deviennent rapidement
et fortement résistants aux anticorps des vaccins. Ces deux
vaccins sont alors totalement inutiles, outre le fait qu'ils soient
extrêmement dangereux.
La meilleure immunité, c'est l'immunité naturelle.
Elle se retrouve normalement dans 80 à 90% de la population
avant l'âge de 15 ans. Parce que la contamination d'une personne
par une maladie mobilise tous les systèmes de défense
de l'organisme, l'immunisation naturelle se fait dans l'ordre.
Au contraire, la contamination vaccinale court-circuite toutes
les premières défenses. L'immunisation artificielle
se fait dans le désordre. Pas étonnant qu'elle exige
des rappels fréquents... aussi inutiles que les vaccins
eux-mêmes!
Les innombrables COMPLICATIONS dues aux vaccins
- allant des troubles mineurs (allergiques, neurologiques ... ) à la
mort (mort subite du nourrisson);
- de courte durée ou permanentes;
- d'apparition immédiate, retardée ou tardive;
- passagères ou irréversibles;
- connues et inconnues.
Voir la page Les innombrables
COMPLICATIONS dues aux vaccins
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