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Vaccin contre le cancer du col de l'utérus "utile ou rentable" ?
 

Vaccin contre le cancer du col de l'utérus "utile ou trés rentable" ?

Fin 2007, les autorités sanitaires suisses ont proposé que toutes les adolescentes soient immunisées avec un nouveau vaccin dit "contre le cancer du col de l'utérus". (20'000 jeunes Vaudoises pourront se faire vacciner dès la rentrée gratuitement 700.-- x 20'000 = 14'000'000.--CHF avec nos impôts, donc ce n'est pas gratuit, c'est un payement détourné, et surtout une très bonne affaire pour le laboratoire, et certainement aussi pour des comptes en banque de certains décideurs)


Le cancer du col de l'utérus et les papillomavirus

Le développement de ce cancer est précédé par l'apparition de sortes de verrues (papillomes) et par des lésions de la muqueuse du col de l'utérus (dysplasies).

Dans le monde, ce cancer serait en fréquence le deuxième des cancers gynécologiques, après celui du sein.

Mais dans les pays occidentaux, ce cancer est relativement rare et son pronostic plutôt favorable avec un taux desurvie à 5 ans de 70%. En Suisse, environ 90 femmes décèdent chaque année des suites d'un cancer du col de l'utérus.

Les virus HPV (Human papilloma virus) forment une famille de virus qui comprend plus d'une centaine de membres parmi lesquels les virus responsables des verrues banales. On trouve ce virus dans les papillomes, les dysplasies et les tumeurs cancéreuses du col de l'utérus. Il semble établi que ce type de cancer n'existe pas en l'absence du virus, d'où l'affirmation que la prévention de l'infection prévient le cancer qui y est associé.

Une trentaine de ces virus papilloma peut être transmise par voie sexuelle. Le virus fait rarement des lésions sur la verge de l'homme, et dans les deux sexes l'infection est indolore.

Le vaccin

Le vaccin immunise contre deux types de virus considérés comme les plus souvent concernés dans le cancer du col, plus contre deux virus secondaires, différents pour les deux vaccins existants. Il est obtenu par génie génétique.

1 dose (0,5 ml) contient:
Protéine L1 de Papillomavirus Humain1 de type 162,3,4 20 microgrammes
Protéine L1 de Papillomavirus Humain1 de type 182,3,4 20 microgrammes
Papillomavirus Humain = HPV
avec adjuvant AS04 contenant:
3-O-desacyl-4’- monophosphoryl lipide A (MPL)3 50 microgrammes
adsorbé sur hydroxyde d’aluminium hydraté (Al(OH)3) 0,5 milligrammes Al3+ au total (Médicalement parlant, l’hydroxyde d’aluminium est considéré comme un poison toxique pour l’organisme.)

* La concentration sérique en aluminium dite ‘normale’, par litre de sang, est inférieure à 15 µg.
* Une altération des fonctions cérébrales est détectable à partir d’un taux de 60 µg.
* Les signes cliniques patents d’encéphalopathie apparaissent à partir de 100 µg… (dans un vaccin vous avez 500µg x 3 injections = 1500µg)
+ d'info sur la page Vaccins et EMPOISONNEMENT par L'Aluminium.

La vaccination comprend 3 injections, si possible la deuxième deux mois après la première et la troisième 4 mois après la
deuxième. La durée d'action du vaccin est inconnue, elle serait supérieure à quatre ans, et le prix des 3 injections : CHF 700.-.

Ce qu'on ne vous dit généralement pas

Le vaccin ne couvre pas toutes les infections HPV
En effet, dans un quart des cancers, on trouve la présence d'un autre type de virus HPV que ceux couverts par le vaccin.

Dans les pays industrialisés, la fréquence du cancer du col de l’utérus a nettement baissé ces dernières décennies. Ce progrès est dû à l’amélioration de l’hygiène et aux mesures de dépistage et non au vaccin , il est donc important que les femmes se soumettent régulièrement à des examens gynécologiques de dépistage et fassent faire un «frottis» (test Pap).

Une période d'essais du vaccin trop courte
Les essais effectués chez l'être humain avant commercialisation n'ont pas duré plus de quatre ans. Aucune des patientes vaccinées n'a développé de cancer, mais aucune non plus dans le groupe de contrôle des femmes non vaccinées !

Il a cependant été démontré qu'aucune patiente vaccinée n'a présenté de dysplasie, alors que celles-ci étaient présentes chez 0,4% dans le groupe non vacciné. Cela n'a pas grande signification puisque dans plus de 90% des cas, ces infections passent inaperçues et guérissent spontanément, y compris pour les souches concernées par ce cancer

Infection HPV ne signifie pas cancer
Ces résultats sont encore à relativiser par le fait que seule une infime minorité des infections chroniques, signées par des dysplasies, se transforme après plusieurs décennies en cancer.

De plus, nous n'avons aucune idée de la durée de l'éventuelle protection vaccinale (mais des rappels sont déjà envisagés). Cette incertitude est à mettre en parallèle avec le fait que deux tiers des femmes touchées par ce cancer ont plus de 65 ans (voir le graphique plus bas). Enfin, l'élimination spontanée du virus HPV par le système immunitaire est d'autant plus fréquente que la femme est jeune.

Vacciner à 15 ans est-ce utile ou rentable ?
Il nous semble exagéré d'affirmer que ce vaccin effectué à l'âge de 15 ans diminuera le nombre des cancers survenant entre 40 et 85 ans, au contraire. Un des risques potentiels d'une vaccination à grande échelle pourrait être de retarder l'infection à un âge plus avancé, donc de diminuer le taux de guérison spontanée et d'augmenter finalement la fréquence de ces cancers.

Pour l'instant, il n'y a aucune preuve valable de l'efficacité de ce vaccin contre le cancer du col de l'utérus par manque de recul. D'ailleurs la publicité parle avec prudence d'un vaccin "pouvant prévenir" le cancer du col de l'utérus.

D'autres facteurs sont responsables du cancer du col:
Le virus n'est pas la seule cause du cancer du col, d'autres facteurs sont à prendre en considération. L’hygiène et le tabagisme (1) joue certainement un rôle néfaste. Un risque élevé de cancer de l'utérus a été observé chez les femmes issues d'une famille dans laquelle plusieurs autres femmes ont déjà eu un cancer de l'utérus, et chez les femmes qui souffrent d'un excès de poids, d'un diabète ou d'une prolifération atypique de la muqueuse utérine. Enfin, les carences vitaminiques (plus particulièrement la carence en vitamine A) peuvent également favoriser l'apparition du cancer du col de l'utérus.

(1) Plusieurs travaux ont déjà montré un lien entre le tabac et le cancer du col de l'utérus. Une nouvelle étude confirme et quantifie cette relation : le tabagisme actif triple le risque de développer ce type de cancer. Toutefois, le tabagisme passif se révèle presque aussi dangereux, en doublant ce risque. http://www.bladi.net/forum/34849-cancer-col-luterus-dexposition-tabagisme-passif/


Et les effets secondaires du vaccin ?
Le système américain de vaccino-vigilance a recueilli jusqu'à ce jour 4266 déclarations d'effets secondaires dont 10 décès (décembre 2007). Ces chiffres doivent être corrigés sachant que seul 1 cas sur 10 voire 1 cas sur 100 est déclaré !!

Parmi les femmes qui ont été suivies pendant 4 ans dans le cadre des essais cliniques il a été constaté trois fois plus de problèmes médicaux sévères que chez les témoins non-vaccinés, Les effets secondaires du vaccin à long terme sont encore inconnus!! (C’est certainement les mêmes personnes qui interdisent les OGM par PP (principe de précaution) qui autorise sans scrupule les vaccins.)
Ajoutons enfin qu'une vaccination à grande échelle diminuera certainement la fréquence des souches vaccinales de ce virus, laissant ainsi la place à d'autres souches, qui pourraient aussi s'associer au cancer.


Nos recommandations
Un des effets pervers du message tend à dire aux adolescentes "vous êtes vaccinées donc protégées". Il va à rencontre de toute la prévention mise en place depuis l'émergence du SIDA envers les maladies sexuellement transmissibles. L'usage du préservatif reste le meilleur moyen de se protéger contre toute maladie sexuellement transmissible dont les virus HPV font partie.

Dans plusieurs pays, des médecins demandent un moratoire sur cette pratique, estimant prématuré de généraliser un vaccin dont l'utilité est loin d'être démontrée et les effets secondaires certains.

Nous invitons chacun à en faire autant et à renoncer à cette vaccination dans l'état actuel des connaissances disponibles.

 

 

"" Les cancers en Afrique étaient apparus cinq ans après les premières campagnes de vaccination
Dr. Albert SCHWEITZER Prix Nobel ""

ENCORE Merck épinglé cette fois avec le vaccin HPV!

Merck, le fabricant du vaccin, a été autorisée à utiliser un "groupe placebo", qui contenait le même type d'hydroxyde d'aluminium réactif trouvées dans le vaccin. Cela signifie que le placebo était pas vraiment un placebo.

Autres détails troublants de la sécurité des données d'essais ont été rejetées comme étant sans pertinence, y compris le fait alarmant que cinq femmes vaccinées dans l'essaie clinique ont donné naissance à des bébés avec des anomalies congénitales.
http://www.planetc1.com/cgi-bin/n/v.cgi?c=1&id=1174623074


http://www.emea.europa.eu/humandocs/PDFs/EPAR/cervarix/H-721-PI-fr.pdf

4.8 Effets indésirables du Cervarix (Selon le fabriquant)

Dans les études cliniques, qui ont inclus des filles et des femmes âgées de 10 à 72 ans (parmi lesquelles 79,2% étaient âgées de 10 à 25 ans au moment de l’inclusion), Cervarix a été administré à 16 142 sujets tandis que 13 811 sujets ont reçu le produit contrôle. Ces sujets ont été suivis pendant toute la durée de l’étude pour détecter des événements indésirables graves. Dans un sous-groupe prédéfini de sujets (Cervarix = 8 130 versus contrôle = 5 786), les évènements indésirables ont été suivis durant les 30 jours suivant chaque injection.

L’effet indésirable le plus fréquemment observé après l’administration du vaccin a été une douleur au site d’injection survenue après administration de 78% de l’ensemble des doses. La majorité de ces effets a été d’intensité légère à modérée et de courte durée.

Les effets indésirables considérés comme étant au moins possiblement liés à la vaccination ont été classés selon leur fréquence :


Les fréquences sont définies comme suit :
Très fréquent (= 1/10)
Fréquent (= 1/100 et < 1/10)
Peu fréquent (= 1/1 000 et < 1/100)


Affections du système nerveux :

Très fréquent : céphalées
Peu fréquent : sensation vertigineuse


Affections gastro-intestinales :

Fréquent : troubles gastro-intestinaux incluant nausées, vomissements, diarrhée et douleur abdominale


Affections de la peau et du tissu sous-cutané :

Fréquent : démangeaisons/prurit, éruption cutanée, urticaire


Affections musculo-squelettiques et systémiques :

Très fréquent : myalgie
Fréquent : arthralgie

Infections et infestations :

Peu fréquent : infection des voies respiratoires supérieures


Troubles généraux et anomalies au site d’administration :

Très fréquent : réactions au site d’injection incluant douleur, rougeur, gonflement; fatigue

Fréquent : fièvre (=38°C)

Peu fréquent : autres réactions au site d’injection telle que induration, paresthésie locale.

Le profil de tolérance observé chez les sujets avec une infection (antérieure ou en cours) par HPV a été semblable à celui observé chez les sujets qui avaient un test ADN négatif pour les HPV oncogènes ou qui étaient séronégatifs pour les anticorps anti-HPV 16 et anti-HPV 18.

C’est pas étonnant avec la dose 500µg hydroxyde d’aluminium par injection alors qu'une altération des fonctions cérébrales est détectable à partir d’un taux de 60 µg !!!!

Une partie de cette page a été copié sur ce sit http://www.infovaccin.ch

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