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Pour
tester de nouveaux produits sur un grand échantillonnage
de population sous le couvert de la santé, on vaccine les
gens contre une pseudo-épidémie avec les produits
que l'on veut étudier.
En 1986, les autorités médicales ont administré aux
enfants des natifs d'Alaska le vaccin contre l'hépatite
B. Sans explication. Sans le consentement des parents.
Beaucoup d'enfants sont tombés malades et plusieurs sont morts. Il
y avait, semble-t-il, un virus appelé RSV (Rous Sarcoma
Virus) dans le vaccin...
Les tribus autochtones d'Amérique sont soumises à de
nombreuses vaccinations. Ces peuplades difficiles à soumettre
et qui possèdent de grandes étendues de terres que
les multinationales voudraient bien récupérer pour
leur bénéfice...
Dernièrement, je rencontrai un groupe de femmes autochtones
pour leur parler de santé. Le sujet des vaccinations vint
sur le tapis. Je leurfis part de certaines informations à ce
sujet quand, brusquement, l'infirmière du groupe me confia
que le gouvernement fédéral leur accordait toute
liberté dans la gestion de leur santé, mais à une
condition expresse: qu'elles respectent scrupuleusement les programmes
de vaccination pour tous. Un grand silence se fit... Nous venions
toutes de comprendre.
- En 1988, au cours d'une interview à la radio, un ambassadeur
du Sénégal rapportait les ravages du sida dans son
pays où des villages entiers sont décimés.
Quelques années auparavant, des équipes scientifiques
et médicales étaient venues vacciner leurs habitants
contre l'hépatite B. La maladie touchait les personnes vaccinées.
- En 1978, on procéda aux essais d'un nouveau vaccin sur
les homosexuels de New York et, en 1980, sur ceux de San Francisco,
Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce "nouveau vaccin",
officiellement contre l'hépatite B, causa la mort par le
sida de plusieurs d'entre eux, comme nous le savons maintenant.
La première hécatombe officiellement reconnue du
sida.
Le programme de vaccination des homosexuels contre l'hépatite
B était commandé par l'O.M.S. et le N.LH. (National
Institute of Réalth). Leur collaboration meurtrière
n'était pas nouvelle.
- En 1970, ils menaient ensemble une étude sur les conséquences
de certaines bactéries et virus inoculés aux enfants
lors des vaccinations.
- En 1972, cette étude devint plus spécifique aux
virus qui provoquaient un affaiblissement de la fonction immunitaire.
Woff Szmuness dirigea les expérimentations antihépatite
B menées à New York. il a fait connaître les
liens existant entre le Blood Center (où il avait son laboratoire)
et le N.LH., le XCL (National Cancer Institute), le FDA., l'O.M.S.,
et les écoles de Santé Publique de Cornell, Yale
et Harvard.
-En 1994 se déroule, au Canada, une vaste campagne de
vaccination antihépatite B, inutile, dangereuse, coûteuse...
et cachant quoi?... je constate que le Québec est particulièrement
vacciné depuis trois ans:
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1992: Vaccination contre la méningite
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1993: Revaccination contre la méningite
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1994: Vaccination contre l'hépatite B.
J'ai été témoin de la vaccination de 1993.
Elle m'a particulièrement troublée parce qu'elle
visait toute une génération (0 à 20 ans),
tout le Québec et seulement le Québec. Depuis quand
les bactéries et les virus connaissent-ils les frontières,
provinciales par surcroît ? Voici les faits.
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Il n'y avait pas d'épidémie ni de risque d'épidémie.
Les épidémiologues étaient formels.
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Non pas un, mais trois vaccins différents furent administrés,
chacun dans un territoire ciblé.
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Certaines infirmières furent sélectionnées
pour suivre une formation spéciale qui les rendait aptes à administrer
un vaccin spécial.
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Tous les enfants étaient fichés sur ordinateur.
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La pression était énorme pour vacciner tous les enfants.
Les écoles furent transformées en cliniques. Les
enfants qui refusaient d'être vaccinés étaient
montrés du doigt et traités d'antisociaux.
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Les infirmières allaient à domicile pour chasser
les mères d'enfants préscolaires refusant de faire
vacciner leurs petits.
J'ai vu, de mes yeux vu, un de ces petits. La mère ne voulait
pas le faire vacciner L'infirmière est venue à la
maison et lui a fait croire que la vaccination était obligatoire.
La mère a cédé... L'enfant est maintenant
infirme: complètement déficient physiquement (paralysé,
spastique) et mentalement.
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La vaccination coûta 30 millions de dollars aux contribuables
québécois, en période de grande récession,
par surcroît.
"
Et si la paranoïa était une forme de conscience ?" -
Kerry Thornley
Pourquoi un tel acharnement meurtrier? Comme
les autochtones, le peuple québécois est dérangeant: il tient à sa
différence et réclame sa souveraineté. De
plus, le Québec (avec les territoires des autochtones) abrite
un réservoir d'eau très alléchant pour les
multinationales qui veulent s'en emparer et détourner les
cours d'eau vers le sud. J'ai compris la valeur de l'eau le jour
où une amie de Californie siégeant sur le Comité des
Eaux de son État me confia: Tor, de nos jours, c'est l'eau
!" Peut-on penser à une meilleure arme que la guerre
biologique pour se débarrasser de peuples embêtants
dont on veut conquérir le territoire ?
La vaccination permet des études épidémiologiques
des populations et de collecter ainsi des informations sur
les résistances à la maladie des différents
groupes ethniques. Elle permet d'étudier les réactions
du système immunitaire de grandes quantités de
population à un
antigène (virus, microbe) injecté par vaccination ¬ tant
dans le cadre de la lutte contre une maladie existante, que
dans le cadre d'une maladie provoquée.
- En 1987, des laboratoires des U.S.A. et le D.B.T. (Département
de Biotechnologie) Indien ont signé un accord autorisant
les essais de vaccins de fabrication génétique sur
la population de l'Inde. Cet accord suscita de vives protestations
car il donnait accès aux profils d'épidémiologie
et d'immunité de la population.
Ces données sont extrêmement importantes sur le plan
militaire, et sont d'autant plus précieuses que les Indes
n'ont jamais été affectées par la fièvre
jaune et ne connaissent pas (pas encore ... ) un seul cas de SIDA.
Les laboratoires américains (privés) proposaient
d'effectuer en Inde des expériences sur des produits qu'ils
n'avaient pas le droit de tester au sein de leur propre nation!
Et les autorités indiennes ont signé l'accord!
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