Steven Jones se prononce ouvertement en faveur
de la théorie de la démolition contrôlée pour expliquer l’effondrement
du WTC du 11 septembre 2001. En effet, il n’hésite pas à réfuter
la version officielle en appuyant sa thèse sur des preuves visuelles
et des expériences qu’il a lui-même réalisées avec ses anciens élèves.
La présence inexpliquée de métal fondu au World Trade Center
l’a déconcerté. Il a ainsi remis en question tous les rapports
publiés par le gouvernement nord-américain.
Suite à ses travaux de recherche largement controversés,
il a été congédié avec solde début septembre 2006 de la Brigham
Young University (principale université de l’Église de Jésus-Christ des
Saints des Derniers Jours – les Mormons)
où il enseignait la physique. De plus, tous les résultats de
ses recherches qu’il publiait sur le site de l’université ne
sont plus accessibles publiquement.
Cet article a subi d’importantes modifications
et a été révisé à trois reprises par le rédacteur en chef du
Journal of 9/11 Studies, Kevin Ryan.
La publication d’une version antérieure a été autorisée
dans un volume édité par David Ray Griffin et Peter Dale Scott,
11/09 and The American Empire: Intellectuals Speak Out, Northhampton,
MA:
Lien de la publication. Il est publié ici avec
l'aimable autorisation des rédacteurs.
Résumé
Dans cet article, je demande une enquête sérieuse
sur l’hypothèse selon laquelle l’écroulement du WTC 7 et des
tours jumelles s’explique non pas uniquement par les dommages
engendrés par les impacts et l'incendie mais par l'utilisation
de charges coupantes placées au préalable. Je prends en compte
les rapports officiels de la FEMA (Federal Emergency Management
Agency, [Ndt : Agence fédérale pour la gestion des situations
d’urgence], du NIST (National Institute of Standards and Technology),
[Ndt : Institut national américain des normes et de la technologie]
et de la Commission du 11 septembre qui considèrent que l'écroulement
des trois bâtiments est seulement dû à l'incendie et aux dommages
engendrés par les impacts. Je détiens également les preuves d'une
hypothèse de démolition contrôlée, suggérée par les données disponibles,
qui peuvent être testées scientifiquement, et qui n'ont été analysées
dans aucun rapport financé par le gouvernement américain jusqu'à présent.

Vidéo Loose change: (en
français) http://www.mondialisation.ca/index.php?context=audioVideo&itemID=125
Introduction
Tout d’abord, de grandes quantités de métal fondu
ont été observées dans des zones du sous-sol, sous les tas de ruines
des trois bâtiments : Les Tours Jumelles et le WTC 7. Cette vidéo
apporte des preuves visuelles concernant ce métal à ground zero
[Ndt : Niveau du sol].
http://plaguepuppy.net/public_html/video%20archive/red_hot_ground_zéro_low_quality.wmv
Les photographies ci-dessous de Frank Silecchia
montrent des morceaux de métal chaud retirés des ruines de la Tour
Nord le 27 septembre 2001 (selon l'assistant du photographe). Observez
la couleur de la partie inférieure du métal extrait, cela nous
en dit long sur la température du métal et nous apporte des indices
importants concernant sa composition, comme nous le verrons.

Ensuite, comme base de discussion, je vous invite à vous
intéresser à l'écroulement du WTC 7 de 47 étages, qui n'a jamais été heurté par
un avion. Voici le bâtiment avant et après le 11 septembre 2001
:

Le WTC 7 : Bâtiment de 47 étages à charpente d'acier ...

Le WTC 7 le 11 septembre 2001, le grand gratte-ciel au fond à droite.

Vue du WTC plaza / sur Church Street.
Le WTC 7 complètement effondré sur ses propres fondations.
Après avoir vu les photographies, il est important
pour la suite de la discussion que vous observiez les vidéos de
l'effondrement de ce bâtiment, en allant sur :
http://911research.wtc7.net/talks/wtc/videos.html
Cliquez sur les trois photos en haut de cette page
Web pour lire les vidéos de l'effondrement du WTC 7. Cela permet
d'avoir le son.
Puis, regardez une vidéo en plan rapproché du même
bâtiment, au coin sud-ouest étant donné que c’est à ce coin que
commence sa chute régulière vers le sol :
http://st12.startlogic.com/~xenonpup/Flashes/squibs_along_southwest_corner.htm
Nouveau, la comparaison de l'effondrement du WTC7
côte à côte avec une démolition contrôlée utilisant des explosifs
http://www.911podcasts.com/files/video/Italiandebateshow-WTC7.wmv http://www.911podcasts.com/display.php?vid=113).
Qu'avez-vous observé ?
Symétrie : Le bâtiment s'effondre-t-il à la verticale
(presque symétriquement) ou s'est-il renversé ?
Vitesse : À quelle rapidité le coin sud-ouest du
toit est-il tombé ? (Les étudiants et moi même mesurons [6,5 ± 0,2]
secondes ; chronométrez-le!) Fumée et débris d'avion : Avez-vous
remarqué les bouffées de fumée et de débris sortant du bâtiment
? Veuillez noter la succession et la rapidité des bouffées ou des
amorceurs observés. Notez que les références aux pages Web sont
utilisées dans cet article en grande partie en raison de l'importance
de visionner des films, de manière à mettre en valeur les considérations
sur les lois du mouvement et de la physique en général. Il est
possible de trouver des photographies de haute qualité, montrant
les détails de l’effondrement du WTC 7 et des Tours du WTC dans
des ouvrages (Hufschmid, 2002 ; Paul et Hoffman, 2004), magazines
(Hoffman, 2005 ; Baker, 2005) et ici.
http://911research.wtc7.net/wtc/evidence/photos/collapses.html
En m'appuyant sur des preuves photographiques et
des vidéos, aussi bien que sur des données et des analyses relatives,
je propose treize raisons rejetant l'hypothèse officielle, selon
laquelle l'incendie et les dommages des impacts ont causé l'effondrement
des Tours Jumelles et du WTC 7, en faveur de l'hypothèse de démolition
contrôlée. L’objectif est d'encourager une étude minutieuse approfondie
des rapports officiels financés par le gouvernement ainsi qu'une
enquête sérieuse sur l'hypothèse de démolition contrôlée. (Bien
sûr, aucune réfutation de mes arguments ne sera satisfaisante sans
réponse à chacun de ces treize points.)
Treize raisons de défier les rapports financés
par le gouvernement et d'étudier l'hypothèse de démolition contrôlée
Hypothèse
1. Le métal liquide : coulant et en flaques
Plusieurs observations relatives au métal fondu dans
les sous-sols des trois bâtiments, WTC 1, 2 (« Tours Jumelles »)
et 7 ont été publiées. Par exemple, le Dr. Keith Eaton a visité ground
zero et a déclaré dans The Structural Engineer :
« Ils nous ont montré un grand nombre de diapositives
fascinantes, allant du métal fondu, qui était encore
rouge ardent des semaines après l'événement, jusqu'à des plaques
d'acier de 10 centimètres d'épaisseur cisaillées et pliées dans
le désastre. » (The Structural Engineer, du 3 septembre
2002, p. 6 ; souligné par nous, SJ.)
La présence du métal fondu à ground zero fut rapportée
par plusieurs observateurs (voir la première photographie ci-dessus),
y compris par Greg Fuchek.
Six mois après le 11 septembre, la température au
sol variait de 315 à 815 °C, elle était parfois plus élevée ».
Durant les premières semaines, lorsqu'un un ouvrier tirait une
poutre d'acier des débris, l'extrémité de la poutre dégoulinait
d'acier fondu », selon Fuchek. (Walsh, 2002)
Sarah Atlas faisait partie de la Task Force One
Urban Search and Rescue du New Jersey et elle fut l'une des
premières sur la scène de ground zero avec son partenaire canin
Anna. Elle rapporte dans Penn Arts and Sciences, pendant
l’été 2002, « Personne n'en sortira vivant ». Le feu se propageait
et l'acier liquide coulait dans le tas de ruines, et continuait
de se déposer sous ses pieds. (Penn, 2002 ; souligné par
nous, SJ.)
Notez que le métal liquide (qui n'était probablement
pas que de l'acier ; voir la discussion ci-dessous) a commencé à couler
vers le tas des décombres. Ainsi, il ne s'agit pas seulement des
flaques de métal liquide formées à cause de l'incendie souterrain
après les effondrements.
Une vidéo apporte des preuves visuelles supplémentaires
concernant la présence de ce métal extrêmement chaud à ground zero
:
http://plaguepuppy.net/public_html/video%20archive/red_hot_ground_zero_low_quality.wmv
L'observateur remarque que la surface étudiée de
ce métal est encore rougeâtre orangée environ six semaines après
le 11 septembre. Cela implique une grande quantité de métal à conductivité thermique
assez basse et à capacité calorique relativement grande (par exemple,
le fer est plus probable que l'aluminium) même dans un lieu souterrain.
Comme le magma dans un cône volcanique, un tel métal peut rester
chaud et liquide pendant longtemps, une fois que le métal est suffisamment
chaud pour fondre en grande quantité et qu'il est maintenu dans
un lieu sous terrain assez bien isolé. De plus, comme supposé ci-dessous,
il est possible que les réactions aluminothermiques aient eu pour
conséquence des quantités substantielles (observées dans les flaques)
de fer liquide à très haute température, dépassant initialement
les 2.000°C. A ces températures, les divers matériaux entraînés
dans les flaques de métal fondu continueront à subir des réactions
exothermiques qui tendront à maintenir les flaques chaudes pendant
des semaines malgré des pertes par rayonnement et conduction. Toutes
les charges coupantes à base de thermite non calcinées pendant
l'effondrement contribueront aussi au chauffage prolongé.
Ainsi, du métal fondu a été observé à plusieurs
reprises et rapporté de manière formelle dans les tas de décombres
des Tours du WTC et du WTC 7, métal qui ressemblait à de l'acier
ou peut-être à du fer fondu. L'analyse scientifique serait nécessaire
pour établir de manière concluante la composition détaillée du
métal fondu.
Je soutiens la cohérence de ces observations avec
l'utilisation de charges coupantes à haute température comme le
thermite, le HMX (High Melting point eXplosive) [Ndt : Explosif à point
de fusion élevé] ou le RDX, ou des combinaisons de ces produits
utilisés d’ordinaire pour fondre, couper, ou détruire de l'acier.
[Voir Grimmer, 2004]. Le thermite est un mélange d'oxyde de fer
et de poudre d'aluminium. Les produits finaux de la réaction aluminothermique
sont l'oxyde d'aluminium et l'acier liquide. Ainsi, la réaction
aluminothermique produit directement de l’acier liquide, qui est
assez chaud pour fondre et même évaporer l'acier qui entre en contact
pendant la réaction. Voici l'équation de la réaction aluminothermique
pour un mélange typique de poudre d'aluminium et de poudre d'oxyde
de fer :
2Al + Fe2O3 = Al2O3 +
2Fe (acier liquide), D H = - 853,5 kJ/mole.
Le thermite contenant son propre approvisionnement
en oxygène, la réaction ne peut être étouffée, même avec de l'eau.
L'utilisation de soufre en même temps que le thermite, par exemple
dans le thermate, accélère l'effet destructeur sur l'acier, et
le sulfitage de l'acier de construction a été effectivement observé sur
certains éléments récupérés des ruines du WTC, comme il l’a été rapporté dans
l'annexe C du rapport de la FEMA. (FEMA, 2002 ; voir aussi ce site : http://www.911research.wtc7.net/wtc/evidence/metallurgy/index.html°)
D'autre part, l’effondrement des bâtiments (sans
produit incendiaire comme le thermite) a une énergie directe insuffisante
pour faire fondre de grandes quantités de métal ; toutes les particules
de métal fondu formées d'une manière ou d'une autres pendant l'écroulement
ne se rassembleront pas en flaques de métal en fusion!
Les rapports du gouvernement admettent que l'incendie
des bâtiments n’était pas suffisant pour fondre les poutres d'acier,
alors d'où viennent ces flaques de métal liquide? Le Dr. Frank
Gayle, expert en métaux (travaillant avec le NIST) a déclaré :
Votre intuition vous inviterait à penser que le
carburant pour moteur à réaction est ce qui a provoqué un incendie
si intense, beaucoup de personnes s’imaginent que c’est ce qui
fondu l’acier. Non, ce n’est effectivement pas ce qui s’est passé,
l’acier n’a pas fondu. (Penn, 2005 ; souligné par nous,
SJ.)
Et dans une fiche d’information publiée en août
2006, le NIST déclare : « A aucun moment, le NIST n’a rapporté que
l’acier des tours du WTC a fondu à cause de l’incendie ».
http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs_8_2006.htm
Aucun rapport officiel n'aborde le mystère des flaques
de métal liquide. Pourtant c'est manifestement un indice important
sur ce qui provoqua l’effondrement des tours et du WTC 7. Ainsi,
une analyse de la composition du métal déjà fondu est exigée par
un panel de scientifiques qualifiés. Cela pourrait bien devenir
une expérience cruciale.
Le Pr. Thomas Eagar expliqua en 2001 que l'incendie
du WTC ne pourrait PAS fondre l'acier :
« L'incendie a le rôle le plus mal compris dans
l'effondrement du WTC. » Même aujourd'hui, les médias rapportent
(et beaucoup de scientifiques le croient) que l'acier a fondu.
Il est soutenu que le carburant pour réacteurs brûle à très haute
température, surtout en présence d'une quantité de carburant aussi
importante. Ce n'est pas vrai.... La température de l'incendie
au WTC n'était pas exceptionnelle, elle ne pouvait certainement
pas fondre l'acier.
Dans la science des combustions, il existe trois
types basiques de flammes, à savoir, le brûleur-jet, la flamme
pré-mélangée, et la flamme diffuse.... Dans une flamme diffuse,
le carburant et l'oxydant ne sont pas mélangés avant l'allumage,
mais circulent ensemble de manière incontrôlée et brûlent lorsque
la proportion carburant / oxydant atteint une valeur permettant
une zone d'inflammabilité. Une cheminée est constituée d’une flamme
diffuse brûlant dans l'air, de même que l'incendie du WTC. Les
flammes diffuses produisent les plus faibles intensités des trois
types de flamme... La température maximale atteinte par les flammes
d'hydrocarbures (carburant pour réacteurs) brûlants dans l'air
est d'environ 1000°C, sûrement pas suffisante pour fondre l'acier à 1500°C. »
« Mais il est très difficile d'atteindre cette température
maximale avec une flamme diffuse. Rien ne peut garantir que le
carburant et l'air se soient mélangés dans le meilleur rapport
avec une flamme diffuse... C'est pourquoi les températures des
incendies domestiques sont en général dans la gamme des 500 à 650 °C [Cote,
1992]. On sait que l'incendie du WTC était une flamme diffuse
réductrice comme le démontrait l'abondante fumée noire.... On
sait que l'acier de construction commence à ramollir autour des
425°C et perd environ la moitié de son intensité à 650°C [Cote,
1992]. C'est pourquoi, l'acier se stabilise dans cet intervalle
de températures. Mais même une perte de 50% de son intensité est
encore insuffisante, en elle-même, pour expliquer l'effondrement
du WTC... Le WTC, lors de cette journée peu venteuse, n'a probablement été soumis à aucune
contrainte de plus d'un tiers de celle permise par la conception
... Même avec son intensité réduite de moitié, l'acier pourrait
supporter encore deux à trois fois les tensions imposées par un
incendie de 650°C. » (Eagar et Musso, 2001 ; souligné par nous,
SJ.).
Nous reviendrons sur les questions des tensions
causées par un incendie et les écroulements du WTC plus tard.
Même sans analyse directe des éléments, nous pouvons
exclure certains métaux sur la base des données disponibles. La
photographie d'introduction montre l'extraction d'un tronçon de
métal chaud de ground zero. La partie inférieure est la plus chaude
du morceau, qui était la plus profonde enfouie dans les scories,
et le métal se situe dans les jaunes chauds, certainement au-dessus
du rouge cerise chaud.
Le tableau suivant (voir http://www.processassociates.com/process/heat/metcolor.htm)
apporte des données sur les températures de fusion du plomb, de
l'aluminium, de l'acier de construction et du fer, avec les températures
approximatives du métal selon la couleur. Remarquez que la température
approximative du métal chaud est donnée par sa couleur, tout à fait
indépendamment de la composition du métal. (Une exception notable
est l'aluminium fondu tombant, qui, à cause de sa faible émissivité et
de sa réflexibilité élevée, semble gris argenté à la lumière du
jour, après être tombé dans l’air à 1-2 mètres, qu’elle que soit
la température à laquelle l'aluminium coulé est sorti de la cuve.
L'aluminium devient incandescent comme les autres métaux, mais
faiblement, de sorte que dans les conditions décrites dans la phrase
précédente (qui ont dominé au WTC le 11/09), l'aluminium fondu
tombant semblera gris argenté. L’oxydation rapide de l’aluminium
coulant chaud contribuera à l’apparence observée. [Expériences
: Jones 2006]
Plomb fondu
Rouge pâle
Rouge sang
*Aluminium fondu
Rouge cerise moyen
Rouge cerise
Rouge cerise vif
Saumon
Orangé sombre
Orangé
Jaune citron
Jaune lumineux
Blanc
*Acier de construction fondu
*Fer fondu
*Thermite (typique)
|
°F
621
930
1075
1221
1275
1375
1450
1550
1630
1725
1830
1975
2200
~2750
2800
>4500
|
°C
327
500
580
660
690
745
790
845
890
940
1000
1080
1205
~1510
1538
>2500
|
°K
601
770
855
933
965
1020
1060
1115
1160
1215
1270
1355
1480
~1783
1811
>2770
|
Nous voyons sur la photographie ci-dessus que ce
métal solide subsistait dans les ruines du WTC à une [couleur de]
température de saumon à jaune chaud (approximativement 845 à 1040 °C).
La température se situe bien au-dessus des températures de fusion
du plomb, du zinc et de l'aluminium, et ces métaux peuvent évidemment être écartés
puisqu'ils seraient des liquides coulants (rouge cerise ou au-dessous) à des
températures beaucoup plus basses. Cependant, le spécimen chaud
observé pourrait être de l'acier de construction (du bâtiment)
ou du fer (d'une réaction aluminothermique) ou une combinaison
des deux. Les photographies supplémentaires de métaux chauds ont
pu fournir d'autres informations et faire avancer la recherche.
La photographie suivante désormais disponible, montre
manifestement du métal à présent solidifié avec les matériaux entraînés,
stockés (comme ceux de novembre 2005) dans un entrepôt de New York
:

L'abondance du fer (par opposition à l'aluminium) dans ces matériaux
est indiquée par la rouille rougeâtre observée. Lorsqu'un échantillon
sera obtenu, un éventail de caractéristiques techniques nous
fournira rapidement les informations que nous recherchons. La
spectrométrie dispersive à l'énergie des rayons X (XEDS) donnera
la composition élémentaire, et la spectroscopie d’électrons à perte
d’énergie nous indiquera les éléments découverts en très petites
quantités, indétectables avec la XEDS. La diffraction par dispersion
des électrons dans le microscope à balayage électronique nous
fournira l'information de phase ; la formation de certains précipités
peut nous indiquer qu'une température minimum de fusion doit
avoir été atteinte. Nous essayerons d'obtenir et de publier ces
données, quoiqu' elles révèlent.
L'intrigante photographie 9-44 dans le rapport du
NIST apporte la preuve d’une réaction hautement exothermique au
coin de la tour Sud juste quelques minutes avant son effondrement.
De plus, c’est précisément à ce coin de la tour que se trouve la
défaillance comme nous pouvons le voir sur cette vidéo. http://video.google.com/videoplay?docid=-564772103237441151&q=cameraplanet+9%2F11

Le NIST déclare à propos de cette photo :
« Une flamme anormale est visible à l’intérieur
du feu. Sur la photographie du haut (9-44), une flamme très brillante, à l’opposé des
flammes ambiantes typiques oranges et jaunes, qui génère un faisceau
de fumée blanche, apparaît.
Source : NCSTAR 1-5A Chapitre 9 Annexe C NIST. 9-44.
p. 344
« Le NIST a rapporté (NCSTAR 1-5A) que juste avant
9H52, un point brillant est apparu en haut de la fenêtre au 80 ème étage
du WTC 2, quatre fenêtres enlevées du côté est de la face nord
suivi du flux de liquide incandescent. Ce flux a duré environ quatre
secondes avant l’effondrement. De nombreux flux liquides similaires
ont été observés près de cet endroit pendant les sept minutes qui
ont conduit à l’effondrement de cette tour. »
Source : http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs_8_2006.htm (Août
2006)
Il a été ainsi établi que le flux du « liquide incandescent » est
géographiquement et temporairement associé au « point brillant » observé sur
le coin du 80 ème étage du WTC 2. La photographie ci-dessous montre,
en comparaison, une réaction aluminothermique avec un faisceau
de poussière d’oxyde d’aluminium blanc s’étendant d’une zone de
réaction brillante. (Expérience réalisée par l'auteur ainsi que
des collègues dans laquelle le thermite ajouté à du soufre a coupé un
gobelet d'acier en une fraction de seconde. Toute réaction aluminothermique
est une réaction dangereuse qui devrait seulement être effectuée
par un professionnel qualifié capable d'évaluer les dangers et
les risques.) Les similarités entre la fameuse réaction aluminothermique
et la réaction inconnue inédite à la tour du WTC sont à observer.
Ces découvertes ont fortement encouragé une enquête approfondie
immédiate de l'utilisation des réactions aluminothermiques dans
la destruction du World Trade Center le 11/09/2001.

Cette dramatique séquence révèle le métal liquide
jaune chaud à blanc ruisselant de la Tour Sud du WTC au MÊME COIN
juste quelques minutes avant son effondrement. http://video.google.com/videoplay?docid=2991254740145858863&q=cameraplanet+9%2F11
Je soutiens que ce métal liquide incandescent est
consistant avec le fer liquide incandescent à proximité d’une zone à réaction
aluminothermique, le « point brillant » sur la photo du NIST. D’autres
photographies capturent le même évènement significatif, en montrant
clairement le métal liquide chaud jaune blanc dégoulinant de la
tour Sud, encore chaud lorsqu’il approche le sol ci-dessous.
Le métal liquide tombant de la Tour 2 du WTC (photos
du haut) est-il plus probablement du fer liquide provenant d’une
réaction aluminothermique (3ème photo) OU de l'aluminium liquide
coulant (4ème photo) ?
Qui peut nier la présence de métal fondu et liquide
sur les ruines du WTC ? La couleur jaune du métal fondu implique
une température d'environ 1000°C, évidemment au-dessus de ce que
pouvaient produire les feux d'hydrocarbures aux fumées sombres
dans les tours. Si l'aluminium (de l'avion, par exemple) avait
fondu, il aurait fondu et coulé de la source de chaleur à son point
de fusion d'environ 650°C et n'aurait donc pas atteint la couleur
jaune du métal fondu observé. Ainsi, l'aluminium fondu est déjà exclu
avec une probabilité élevée. Mais le fer fondu avec les caractéristiques
observées dans cette vidéo est en fait logique avec une réaction
aluminothermique attaquant les colonnes d'acier de la tour, affaiblissant
de ce fait le bâtiment juste avant son effondrement, puisque le
thermite produit du fer fondu à de chaudes températures du jaune
au blanc. (Comme une partie du métal fondu frappe le côté du bâtiment
dans la vidéo ci-dessus, l'intérieur blanc chaud est apparemment
exposé pendant la « projection » du métal.) En outre, le fait que
le métal liquide se maintienne dans une tonalité orangée lorsqu'il
s'approche du sol (photo ci-dessus) exclut ensuite l'aluminium,
et suggère la pleine action d'une réaction aluminothermique (typique
du thermite).
Voici deux vidéos indépendantes montrant le métal
liquide jaune-blanc s’écoulant de la tour Sud. http://video.google.com/videoplay?docid=2991254740145858863&q=cameraplanet+9%2F11
et
http://video.google.com/videoplay?docid=-564772103237441151&q=cameraplanet+9%2F11
Le Loose Change Team possède depuis peu une troisième
vidéo indépendante sur le métal liquide tombant jaune et chaud
et sera bientôt disponible pour le public. « Montage définitif » Dylan
Avery, communication privée.]
L’absence de fumée noire traînant derrière le matériel
liquide tombant indiquait qu’il ne s’agissait pas de débris trempés
dans du carburant. Effectivement, on peut observer dans ces vidéos
de la cendre blanche traînant derrière le matériel liquide tombant.
L’acier fondu tombant ne produirait pas de telles cendres blanches,
alors que les thermites produisent des cendres d’oxyde d’aluminium
blanches qui proviennent du métal fondu tombant dans la réaction,
correspondant aux observations.
Nous sommes en train d’analyser les résidus trouvés
dans la scorie solidifiée aussi bien que dans la poussière provenant
de l’effondrement du WTC, pour déterminer la nature des réactions
qui sont à l’origine du matériel fondu.
(Nous avons en effet exécuté la microsonde, la fluorescence
des rayons X et d'autres analyses sur des échantillons de scories
solidifiées et sur de la poussière du WTC. L’origine d’un échantillon
de poussière du WTC est un appartement au 113 Cedar Stree à New
York City, NY. Un mémorial construit à partir d’acier de construction
provenant des tours du WTC à l’université Clarkson à Potsdam, à New
York est la source des échantillons de métal fondu. La projection
solidifiée poreuse trouvée avec la boue compacte provenant du mémorial
est analysée. Les résultats de ces études ont été présentés au
meeting 2006 de l'Utah Academy of Science suivi de l’American Scholars
Symposium (Los Angeles) et sont disponibles ici :
http://www.journalof911studies.com/JonesAnswersQuestionsWorldTradeCenter.pdf.
Des preuves plus significatives quant à l’utilisation
d’aluminothermites sont encore découvertes dans nos analyses et
seront rapportées dans un article à part.
D'autres explications des observations sont bien
sûr recherchées. Par exemple, F. Greening a suggéré que l'aluminium
provenant des avions qui ont heurté les tours a pu fondre, et que
cet aluminium a pu tomber sur « des surfaces d'acier rouillées,
impliquant de violentes explosions de thermite ». [Greening, 2006]
C’est pourquoi, quelques étudiants et moi-même avons réalisé de
véritables expériences en fondant de l'aluminium et en renversant
de l'aluminium fondu sur des surfaces d'acier rouillées préchauffées.
Il n'a été en fait observé AUCUNE réaction « violente de thermite ».
Nous avons observé que la température de l'aluminium fondu au contact
du fer rouillé s'est simplement refroidie d'environ 25°C par minute
(mesuré à l’aide d’une sonde infrarouge) jusqu'à ce que l'aluminium
se soit solidifié, de sorte que toutes les réactions de thermite
entre l'aluminium et l'oxyde de fer doivent avoir été minimales
et n'ont pas rivalisé avec le refroidissement radiatif et conducteur,
de ce fait les prévisions faites par Greening ne sont PAS soutenues.
Aucun dommage observé, pas même de déformation de l'acier. (Voir
la photographie ci-dessous.) Ni de violente réaction observée quand
nous avons laissé tomber de l'aluminium fondu sur du gypse écrasé,
du béton (humide ou sec), et sur de l'acier rouillé.
[Jones 2006, disponible
sur http://www.scholarsfor911truth.org/ExptAlMelt.doc ]
Ces expériences ne soutiennent en aucune façon l'idée
[voir Greening, 2006] selon laquelle l'aluminium fondu dans les
Tours du WTC pourrait avoir détruit les énormes colonnes d'acier
du cœur des bâtiments, même si ces colonnes étaient rouillées et
d'une manière ou d'une autre soumises au contact direct de l'aluminium
fondu. [Greening, 2006] Remarquez que la dernière explication proposée
ne fournit aucun mécanisme pour le combustible d’alimentation (matériaux
de bureau) au flux d’oxygène, c’est-à-dire que cela ne ressemble
pas à un chalumeau oxyacétylénique. De plus, même si les réservoirs
ont survécu à l’écrasement, fondre l’acier exigerait des températures
de l’acier (non de l’air) de plus de 1482 degrés alors que la structure
d’acier éloigne la chaleur de la source de chaleur. Greening doit
prendre en compte le transfert de chaleur aussi bien que la probabilité selon
laquelle les réservoirs d’oxygène des avions auraient survécu à l’écrasement
destructeur des avions. Enfin, aucun avion n’a touché le WTC 7,
cette dernière hypothèse n’est donc dans ce cas pas valable depuis
sa sortie. Mais nous prenons en compte des hypothèses alternatives
comme celles-ci. En définitive, les données provenant de la scorie
solidifiée ne sont pas consistantes avec l’acier de construction
fondu puisqu’il ne contient presque pas de chrome, elles montrent
pourtant une présence importante de fluor et de soufre élémentaire
ainsi que de fortes concentrations de nickel et de zinc. Ces résultats
feront l’objet d’un document à part. Une rapide analyse des résultats
récents, présentés à l’Utah Academy of Sciences ainsi qu’une une
brève explication est disponible ici :
http://www.journalof911studies.com/JonesAnswersQuestionsWorldTradeCenter.pdf
.
Nous avons aussi remarqué qu’alors qu'une casserole
en acier contenant de l'aluminium rougeoyait et devenait ensuite
jaune chaud, lorsque l'aluminium était versé, l'aluminium tombant
affichait une couleur grise argentée, renforçant de manière considérable
la preuve que l’égouttement de métal fondu jaune blanc de la Tour
Sud peu avant son effondrement n'était PAS de l'aluminium fondu.
(Il faut également se souvenir que la couleur jaune du métal fondu
(vidéo ci-dessus) implique une température d'environ 1100°C, trop élevée
pour les feux d'hydrocarbures à fumées sombres qui se propageaient
dans les bâtiments). Ce point est important à souligner.
L'aluminium a un indice d'émission bas et un indice
de réflexion élevé, pour qu'à la lumière du jour après avoir pénétré l'air
d’un à deux mètres, l'aluminium fondu semble gris argenté, alors
que le fer fondu (avec son indice d'émission élevé caractéristique)
semblera blanc jaune (à environ 1100°C) comme il l’a été remarqué dans
l’égouttement du métal fondu de la Tour Sud juste avant son effondrement.
(Voir : http://www.supportthetruth.com/jones.php)
Nous rappelons également que ce métal fondu, après
avoir chuté d'environ 150 mètres, conservait toujours une couleur
rougeâtre orangée (voir les photos, ci-dessus).
Il ne s’agit pas d’aluminium fondu.
Aluminium fondu versé sur de l'acier rouillé : flux argenté,
et aucune réaction violente observée.
Dans une feuille d’information en août 2006, le
NIST a apporté une explication possible en ce qui concerne ce matériau
liquide coulant :
« Le NIST a conclu que l’origine du matériau fondu était
de l’alliage d’aluminium provenant de l’avion puisque l’on sait
qu’ils peuvent fondre entre 475 degrés et 640 degrés (en fonction
de l’alliage), bien en-dessous des températures attendues (environ
1000 degrés à proximité de l’incendie).
L’aluminium ne s’enflamme pas à des températures
de feu normales et il n’existe pas d’indication visuelle qui
montre le matériau coulant provenant de la tour qui brûlait.
« L’aluminium liquide pur devrait apparaître
argenté. Néanmoins, le métal fondu était probablement mélangé à de
grandes quantités de matériaux organiques solides, partiellement
brûlés chauds ( par exemple des meubles, des tapis, des cloisons
et des ordinateurs) qui peuvent apparaître sous forme d’effluves
oranges, comme des journaux brûlant dans une cheminée. La
couleur apparente pourrait également avoir été affectée par la
formation de scories à la surface. »
http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs_8_2006.htm
Le NIST affirme que l’hypothèse selon laquelle l’aluminium
coulant accompagné de matériaux organiques brûlés en partie mélangés « peut
faire apparaître un effluve orange ». Mais est-ce bien le cas?
J’ai décidé de réaliser une expérience pour vérifier. Notre échantillon
mélangé à l’aluminium dans une casserole d’acier avec l’utilisation
d’un chalumeau oxyacétylénique. Ensuite, nous avons ajouté des
planches en plastique; qui s'enflamment immédiatement en dégageant
une fumée noire, comme le plastique flottait au-dessus de l’aluminium
fondu chaud. Puis, nous avons ajouté des morceaux de bois (du pin,
du chêne et des morceaux de panneaux en fibre compressés) à l’aluminium
liquide. Une nouvelle fois, nous avons obtenu du feu ainsi que
de la fumée, les hydrocarbures flottaient au-dessus tout en brûlant.
Nous avons versé l'aluminium et tous les trois, nous avons observé qu'il
apparaissait argenté et non orange! Nous avons pris des photos
et des vidéos, nous en aurons donc la preuve enregistrée. Bien
sûr, nous avons observé quelques tisons brûler, mais cela n’a pas
altéré l’apparence argentée de l’aluminium tombant, coulant.
Nous avons décidé de recommencer l’expérience, avec
le même aluminium mélangé. Cette fois-ci lorsque nous avons ajouté des
morceaux de bois à l’aluminium fondu chaud, nous avons versé une
préparation de bois et d’aluminium alors que le feu continuait
de se propager. Et comme précédemment, le bois flottait au-dessus
de l’aluminium liquide. Alors que nous pourrions voir des tisons
de bois brûler, nous avons observé une importante quantité d’aluminium
flottant devenant argenté comme toujours, lorsqu’il entre en contact
avec l’air.
Il s’agit d’un élément clef pour comprendre pourquoi
l’aluminium « ne devient pas orange » en partie en raison des organiques
brûlés « mélangés » (selon la théorie du NIST), parce qu'ils ne
se mélangent PAS! Mon collègue a remarqué que c’était comme pour
l’huile et l’eau, les organiques et l’aluminium fondu ne se mélangent
pas. Les hydrocarbures flottent au-dessus, ils brûlent et les tisons
se propagent, c’est exact mais juste par endroits. Il est évident
que les organiques ne donnent PAS à l'aluminium liquide chaud « un
effluve orange » lorsqu’il tombe, lorsque vous effectuez effectivement
l’expérience! Les vidéos de nos expériences comprenant les organiques
ajoutés à l’aluminium liquide sont disponibles ici :
http://www.scholarsfor911truth.org/Experiments-to-test-NIST-orange-glowhypothesis.html
Dans les vidéos sur le métal fondu provenant du
WTC2 juste avant son effondrement, le liquide tombant apparaît
systématiquement orange, pas seulement orange par endroit mais
certainement pas argenté. Nous concluons de toutes ces études que
le métal tombant qui s’est écoulé du WTX2 n’est PAS de l’aluminium.
Il ne s’agit pas non plus d’aluminium « mélangé » à des organiques
comme le suggèrent les hypothèses du NIST.
Il est important de souligner que l'amorçage de
la réaction du thermite exige des températures bien au-dessus de
celles atteintes par combustion du carburant pour réacteurs ou
des matériaux de bureau, ce qui fait l'avantage de l'utilisation
de charges de thermite sur les explosifs monomoléculaires conventionnels
tels que le TNT, le RDX et le PETN.
Ci-dessous, une photographie d'une expérience effectuée
par l'auteur et des collègues à la BYU, dans laquelle un échantillon
de thermite a été chauffé à la température orangée chaud (environ
926°C). Nous avons démontré que la réaction du thermite ne se déclenchait
pas à cette température élevée. Plus tard, la réaction a été déclenchée
en brûlant une bande de magnésium au contact du thermite. Une « allumette » électrique
de superthermite a pu être utilisée et déclenchée à distance par
l'intermédiaire d'un signal radio.

Le thermite chauffé au chalumeau à propane ne s’enflamme
pas.
Le « Superthermite » utilise de minuscules particules
d'aluminium connues sous le nom de « nanoaluminum » (<120 nanomètres)
afin d'augmenter leur réactivité. Les superthermites explosifs
sont formés en mélangeant de la poudre de nanoaluminium avec des
particules d’oxyde de métal fin telle que la poudre d’oxyde de
fer à échelle de micron.
« Les chercheurs peuvent augmenter de manière
considérable la puissance des armes en ajoutant des matériaux
connus comme les superthermites qui combinent les nanométaux
comme le nanoaluminium avec des oxydes de métal comme l’oxyde
de fer, selon Steven Son, un projet phare dans le Explosives
Science and Technology Group à Los Alamos. »
L’avantage (de l’utilisation de nanométaux) réside
dans le degré de rapidité que vous tirez de leur énergie, selon
Son. Son affirme que les réactions chimiques des superthermites
sont plus rapides et par conséquent lâchent une quantité plus
importante d’énergie plus vite…
Son, qui a travaillé sur les nanoénergétiques depuis
plus de trois ans, affirme que les scientifiques peuvent manipuler
des poudres de nanoaluminium avec différentes tailles de particules
pour varier les taux d’émission d’énergie. Cela permet au matériau
d’être utilisé dans de nombreuses applications, y compris dans
les dispositifs explosifs subaquatiques… Cependant, les
chercheurs ne sont pas autorisés à décrire les applications militaires
concrètes qui pourraient surgir de cette recherche. » (Gartner,
Janvier 2005)
Fondé sur cela ainsi que sur d’autres découvertes,
l’éventuelle utilisation de thermites incendiaires et de superthermites
explosifs le 11 septembre 2001 devrait être immédiatement examinée
de manière vigoureuse.
Les ouvriers scrutant le « coeur » chaud sous les
décombres du WTC.
http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/1858491.stm
Pour un témoignage visuel des flaques de métal fondu
sous les tours et le WTC 7, voir :
http://911proof.com/11.html
Existe-t-il des exemples de bâtiments renversés,
par l’incendie ou une raison autre que la démolition délibérée,
qui montrent de grandes flaques de métal fondu dans les décombres
? J'ai posé cette question à de nombreux ingénieurs et scientifiques,
mais jusqu'ici aucun exemple n'a fait surface. Etrange alors que
trois bâtiments de Manhattan, qui se seraient finalement écroulés
par l’incendie montrent tous de grandes flaques de métal fondu
dans leurs sous-sols après les effondrements du 11 septembre 2001.
Il serait intéressant par exemple qu’un incendie souterrain ait
pu d'une manière ou d'une autre produire de l'acier fondu, mais
il existerait alors des exemples historiques de cet effet puisque
de nombreux incendies de taille considérable ont eu lieu dans de
nombreux bâtiments. Il n'existe pas assez d'arguments en faveur
de l’hypothèse de l’incendie qui aurait pu être à l’origine des
trois flaques de métal fondu orangé chaud.
De plus, nous avons vu les rapports publiés selon
lesquels « l'acier fondu [ou tout autre métal] qui coulait dans
les tas de ruines et qui ne cessait de se déposer sous ses pieds »,
comment l’incendie de bâtiment pourrait-il avoir causé cet effet
? Cela a-t-il jamais été observé auparavant? Nous n’avons aucun
exemple à notre connaissance. Cependant, comme conjecturé, la réaction
du dérivé de thermite produira du fer fondu s'écoulant, comme observé.
Les températures très élevées (correspondant aux
couleurs jaune saumon) du métal fondu observées sur les vidéos
et les photos sont difficiles à expliquer dans le contexte de la
théorie officielle, selon laquelle l’incendie a fini par provoquer
l'effondrement des Tours du WTC et du WTC 7. Les réactions fortement
exothermiques autres que les feux de carburant pour réacteurs ou
de matériel de bureau, tels que la réaction du thermite qui produit
au final du fer fondu blanc chaud, sont manifestement impliquées
par ces données. En outre, l'utilisation d'explosifs tels que le
HMX et le RDX devrait aussi être prise en compte. Les superthermites
sont également explosifs et ne doivent pas être oubliés dans toute
enquête approfondie qui s’intéresse aux hypothèses suggérées par
les données disponibles. Les rapports officiels du NIST, de la
FEMA et de la Commission du 11/09 ont omis de manière remarquable
de mentionner les grandes quantités de métal fondu observées dans
les zones de sous-sol du WTC 7 et des tours. Le fait que les rapports
officiels ne répondent pas correctement à la question du métal
fondu sur les sites apporte obligatoirement une motivation de plus
pour poursuivre la recherche sur les effondrements du WTC.
2. Les températures observées autour des 1000°C
et le sulfitage de l'acier du WTC 7
L'un des relativement rares documents révisés cités
précédemment, concernant les effondrements du WTC, apporte « une
première analyse microstructurale de l'acier A36 du Bâtiment WTC
7 ». Cette brève mais importante lettre déclare :
Bien que la place exacte de cette poutre soit indéterminable, l'érosion
inattendue de l'acier trouvé dans cette poutre a justifié une étude sur
les changements microstructuraux qui se sont produits dans cet
acier. L'examen d'autres parties de cette poutre est en cours.
ANALYSE. La rapide détérioration de l'acier résulta
du chauffage avec oxydation combinant la fusion inter-granulaire
qui s’explique par la présence de soufre. La formation du
mélange eutectique d'oxyde de
fer et de sulfure de fer abaisse la température de formation
de liquéfaction dans cet acier. Cela suggère fortement que les
températures dans cette partie de la poutre d'acier avoisinaient
les 1000°C par un processus similaire à l'élaboration d'une « soudure
de forgeron » dans une forge portative. (Barnett, 2001)
Comment ces températures de 1000°C dans les poutres
d'acier ont-elles été atteintes ? Comme remarqué ci-dessus dans
la citation d'Eagar, il est difficile d'atteindre des températures
dépassant les 650°C dans le type de feux diffus, évident dans les
bâtiments du WTC, et encore moins dans les colonnes d'acier où la
chaleur est évacuée par l'énorme radiateur de la structure métallique.
Ainsi les températures déduites par Barnett, Biederman, et Sisson,
sont vraiment remarquables. Ensuite, il y a la sulfuration assez
mystérieuse de l'acier rapporté dans ce document. Quelle est l'origine
de ce soufre ? Aucune réponse solide n'est apportée dans l’ensemble
des rapports officiels.
Il existe naturellement une manière directe d’atteindre
une température de 1000°C (et bien au-dessus) en présence de soufre,
en utilisant du thermate (ou une variation similaire du thermite).
Le thermate est un thermite analogue à haut niveau contenant du
soufre développé par les militaires
Voir : http://www.dodtechmatch.com/DOD/Patent/PatentDetail.aspx?type=description&id=6766744&HL=ON
Le thermate combine de l'oxyde d'aluminium et de
fer (thermite) avec du nitrate de baryum (29%) et du soufre (en
général 2% bien que plus de soufre pourrait être rajouté). La réaction
du thermate agit rapidement, beaucoup plus vite que le thermite,
dans la dégradation de l'acier menant à la défaillance de la structure.
Ainsi, à la fois les températures inhabituelles et les extraordinaires
observations de sulfuration de l'acier (Barnett, 2001) peuvent être
expliquées si l'utilisation du thermate est permise dans le débat.
Remarquez que d'autres oxydants (comme le KMnO4) et des métaux
(comme le titane et le silicium) sont communément utilisés dans
des équivalents du thermite.
En définitive, la sulfuration a été observée dans
des échantillons d'acier de construction trouvés dans le WTC7 et
l'une des tours du WTC, comme rapporté dans l'annexe C du rapport
de la FEMA. Il est tout à fait possible que plusieurs types de
charges coupantes étaient impliqués le 11/09, par exemple, le HMX,
le RDX et le thermate, quel que soit la combinaison. Bien que le
gypse des bâtiments soit une source de soufre, il est très improbable
que ce soufre ait pu pénétrer dans l'acier de construction de manière à former
un mélange eutectique. La preuve de l'utilisation d'une certaine
variété de thermite, tel que le thermate contenant du soufre, dans
la destruction des tours du WTC et du Bâtiment 7, est suffisamment
captivante pour justifier une sérieuse enquête.
3 L'effondrement presque symétrique du WTC 7
Comme vous pouvez l’observer (lien ci-dessus), le
WTC 7 s’est effondré rapidement et presque verticalement, même
lorsque l’incendie se propage au hasard dans le bâtiment. Le WTC
7 s’est écroulé sept heures après que les tours se soient effondrées,
alors qu’aucun incendie important n’était visible (une fumée noire
considérable pouvait être observée). Il y avait vingt-quatre énormes
colonnes de soutien en acier à l'intérieur du WTC 7 tout comme
d'énorme armatures, disposées non de manière symétrique, tout le
long avec cinquante-sept colonnes de pourtour, comme l'indique
le diagramme ci-dessous (FEMA, 2002, chapitre 5 ; NIST, 2005).

Diagramme d'une vue d'en haut, montrant la disposition des colonne
d'acier du WTC 7.
Les colonnes encerclées furent probablement endommagées à cause
des débris de l'effondrement du WTC 1, distant d'environ 105 mètres
(NIST, 2005). Les dommages étaient donc manifestement dissymétriques,
et bien sûr, aucune colonne du cœur ne fut sectionnée par la chute
des débris. Le WTC 7 n’a jamais été jamais heurté par un avion.
L'effondrement pratiquement symétrique qui fut observé exige évidemment « le
retrait » simultané de plusieurs colonnes de soutien (voir ci-dessous,
en particulier la thèse du document de Bazant et Zhou).
La probabilité d'un effondrement total presque symétrique à cause
des incendies aléatoires, comme dans la théorie « officielle »,
est faible, puisqu'une défaillance dissymétrique est tellement
plus probable. Si une ou plusieurs colonnes avaient cédé, on se
serait attendu à ce qu'une partie du bâtiment s'effondre tout en
laissant une grande partie du bâtiment sur pied. Par exemple, les
parties principales du WTC 5 sont restées debout le 11/09 malgré des
impacts extrêmement considérables ainsi que des incendies violents.
Effondrements asymétriques de grands bâtiments expliqués par
des raisons aléatoires. L'effondrement de l'Ambiance Plaza (ci-dessus)
montre comment les plaques abattues des étages en béton sont
en grande partie intactes et révèlent clairement les effets de
l'empilage avec un minimum de poussière fine, comme prévu dans
les effondrements progressifs aléatoires. En revanche, les planchers
en béton des Tours Jumelles et du WTC 7 ont été réduits en poussière,
ce qui est commun dans les démolitions contrôlées utilisant des
explosifs.
D'autre part, un des objectifs majeurs de l'utilisation
de la démolition contrôlée par des charges coupantes explosives
est l'effondrement symétrique complet et à la verticale des bâtiments.
Le lecteur voudra peut être revoir les exemples de démolitions
contrôlées sur
http://www.implosionworld.com/cinema.htm
Pour des exemples d’effondrements symétriques complets
causés par des explosifs soigneusement placés à l'avance. (Les
vidéos des effondrements de Philips Building, de Southwark Towers,
et de Schuylkill Falls, sont particulièrement instructives.).
Les conclusions du rapport de la FEMA sur l'effondrement
du WTC 7 s'appuient sur ces arguments :
Les caractéristiques de l’incendie du WTC 7 et la
manière dont ils ont provoqué l’effondrement du bâtiment [« théorie
officielle »] demeurent inconnus actuellement. Bien que tout le
carburant diesel sur les lieux contenait une énorme énergie potentielle, la
meilleure hypothèse [effondrement causé par les dommages de l’incendie
et des débris] a seulement une faible probabilité de se produire.
Davantage de recherches, d'enquêtes, et d'analyses, sont nécessaires
pour répondre à cette question. (FEMA, 2002, chapitre 5; souligné par
nous, SJ.)
C'est exactement le sujet : des recherches
et des analyses supplémentaires sont en effet nécessaires, avec
la considération sérieuse de l'hypothèse de démolition contrôlée
qui est négligée dans tous les rapports du gouvernement (FEMA,
NIST et rapports de la Commission du 11/09). Remarquez que le rapport
de la Commission du 11/09 ne mentionne même pas l'effondrement
du WTC 7 le 11 septembre 2001. (La Commission, 2004) C'est une
omission surprenante de données très pertinentes sur la question
de ce qui c’est vraiment passé le 11 septembre 2001.
4. Aucun gratte-ciel ne s'est effondré auparavant à cause
d’un incendie
Un article du New York Times, intitulé « Les
ingénieurs sont déroutés par l'effondrement du WTC 7 ; des éléments
d'acier ont été en partie évaporés », apporte des données pertinentes.
Les experts ont déclaré qu'aucun bâtiment comme
celui-ci [WTC 7], une tour moderne renforcée d'acier, ne s'est
jamais effondrée à cause d'un incendie incontrôlé. (Glanz,
2001 ; souligné par nous, SJ.)
L'expert en science du feu Norman Glover est d'accord
:
Presque tous les grands bâtiments seront le lieu
d’incendies importants pendant leur durée de vie.
Aucun gratte-ciel important ne s'est jamais effondré par
le feu...
« Le WTC fut le lieu d'un incendie similaire en
1975 ; cependant, le bâtiment a survécu avec des dommages mineurs,
a été réparé, et a été remis en service. » (Glover, 2002)
C'est juste, aucune tour à poutre d'acier ne s'est
jamais effondrée complètement avant (ou depuis) à cause de l'incendie!
Cependant, de tels effondrements complets et presque symétriques
de grands bâtiments à armature d'acier sont arrivés de nombreuses
fois avant, tous à cause d’explosifs placés au préalable, dans
un procédé appelé « implosion » ou démolition contrôlée. Alors,
quelle surprise, pour un tel événement au centre de Manhattan,
trois gratte-ciel complètement effondrés le même jour, le 11 septembre
2001, vraisemblablement sans utilisation d'explosifs.
Les ingénieurs ont tenté de trouver exactement ce
qui est arrivé, et s'il fallait s'inquiéter pour d'autres bâtiments
dans le pays... La plupart des autres bâtiments dans le [secteur]
ont tenu en dépit de toutes sortes de dommages subis, y compris
du feu... « L’incendie et les dommages structuraux... n'expliqueront
pas les éléments d'acier dans les piles de débris qui semblent
avoir été en partie évaporés », selon le Dr [Jonathan] Barnett.
(Glanz, 2001; souligné par nous, SJ.)
Les éléments d'acier « en partie évaporés » observés
dérangent en particulier la théorie officielle, puisque les feux
impliquant le papier, le matériel de bureaux, même le carburant
diesel, ne peuvent générer en aucune façon des températures voisines
des 2.860°C requises pour évaporer l'acier. (Il faut se souvenir
que le WTC 7 n'a été heurté par aucun avion, aucun carburant pour
réacteurs n'était donc impliqué dans l’incendie de ce bâtiment.)
Cependant, les variantes de thermite, le RDX et autres incendiaires
ou explosifs utilisés en général (c'est-à-dire, les charges coupantes)
peuvent aisément découper l'acier en tronçons, donc découper les
colonnes de soutien dans une démolition contrôlée, et atteindre
les températures requises. Ce mystère exige d'être exploré, mais
il n'est pas mentionné dans les rapports « officiels » de la Commission
du 11/09 et du NIST.
 
5. La synchronisation des amorceurs lors de l'effondrement
du WTC 7
On peut observer des bouffées horizontales de fumée
et de débris surgissant du WTC 7 sur les planchers supérieurs,
en ordre régulier, juste au moment où le bâtiment commence à s'effondrer.
(Le lecteur a peut être envie de regarder à nouveau la vidéo en
plan rapproché.) Les planchers supérieurs ne se sont apparemment
pas déplacés les uns par rapport aux autres, sur ce que l'on peut
observer dans les vidéos. En outre, la synchronisation entre les
bouffées est de moins de 0,2 seconde, excluant donc à l'évidence
l'air expulsé par les planchers s'effondrant (voir Chertoff, 2005).
Le temps de chute libre d'un plancher s'effondrant sur le plancher
en dessous dépasse sensiblement 0,2 seconde : l'équation pour la
chute libre, y = 1/2 gt², donne un peu plus de 0,6 seconde, au
moment où le déclenchement de l'effondrement est proche.
Toutefois, la présence d'une telle opération d’« amorceurs » en
haut du côté du bâtiment est commune quand des explosifs placés à l'avance
sont utilisés, comme on peut l’observer sur
http://www.implosionworld.com/cinema.htm
Ce même site montre que la rapidité entre les amorceurs
explosifs est également très courante. (Il est instructif de regarder
plusieurs des vidéos d'implosions sur ce site Internet.) Ainsi,
comme observé pendant l'effondrement du WTC 7, les amorceurs montant
le côté du bâtiment en séquence rapide apportent une importante
preuve supplémentaire de l'utilisation d'explosifs placés au préalable.
La diffusion par le gouvernement (par le NIST, en particulier)
de toutes les données vidéo et photographiques montrant les détails
des incendies, des dommages, et de l'effondrement du WTC 7 le 11
septembre 2001, nous permettront d'analyser ces informations d’amorceurs
plus en détail, pour déterminer si les bouffées de fumée observées
témoignent de bris de fenêtres ou de charges explosives.
Les faisceaux de fumées horizontaux et les bruits
d'explosions sont bien plus prononcés dans les vidéos des effondrements
des tours du WTC disponibles (voir les sections 7 et 8 ci-dessous).
Concernant ce bâtiment hautement sécurisé,
un article du New York Times intitulé « Un site secret
de la CIA à New York a été détruit le 11 septembre », apporte
une pièce intrigante du puzzle :
Le poste secret de la CIA à New York était dans
l'immeuble 7, de 47 étages, du World Trade Center... Tous
les employés sur le site de l'agence ont été évacués en toute sécurité...
Les employés de l'agence de renseignement ont pu observer des fenêtres
de leurs bureaux pendant que les Tours Jumelles brûlaient juste
avant d'évacuer leur propre bâtiment.
(Risen, 2001)
6. Affaissement prématuré de l'antenne de la
Tour Nord
Le rapport officiel sur le 11 septembre de la FEMA
admet une anomalie surprenante concernant l'effondrement de la
Tour Nord :
L'étude des enregistrements sur bandes vidéo de
l'effondrement pris de divers angles indique que l'antenne de transmission
au sommet de la structure a commencé à se déplacer vers le bas
et un peu latéralement avant que le mouvement des parois extérieures
soit visible. Cela suggère que l'effondrement débuta avec une
ou plusieurs défaillances dans la partie centrale du cœur du bâtiment. (FEMA,
2002, chapitre 2 ; souligné par nous, SJ).

Tour Nord laissant paraître l'antenne (au-dessus) au début de
l'effondrement.
Oui, nous pouvons voir par nous-mêmes dans les vidéos
que l'antenne s'affaisse en premier dans l'effondrement de la Tour
Nord.
(Voir
http://911research.wtc7.net/wtc/evidence/videos/wtc1_close_frames.html
et
http://home.comcast.net/~skydrifter/collapse.htm
Un article du NY Times a également remarqué cela
:
Le bâtiment a tenu plus d'une heure et demie. Les
vidéos de l'effondrement de la Tour Nord semblent montrer que son
antenne de télévision commença à s'affaisser une fraction de seconde
avant le reste du bâtiment. Les observations suggèrent que, d'une
manière ou d'une autre, le cœur d'acier du bâtiment s’est rompu
en premier... (Glanz et Lipton, 2002 ; souligné par nous, SJ).
Mais comment? Qui causa l'affaissement manifestement
presque simultané des 47 énormes colonnes d'acier du cœur de ce
bâtiment qui soutenait l'antenne, sinon des charges coupantes?
L'affaissement anormalement précoce de l'antenne
a été remarqué dans le rapport de la FEMA (FEMA, 2002) et par le New
York Times (Glanz et Lipton, 2002), sans pourtant être expliqué dans
les rapports officiels (FEMA, 2002 ; Commission, 2004 ; NIST, 2005).
Le rapport du NIST remarque que :
... les enregistrements photographiques et les vidéos
de l'effondrement du WTC 1 pris directement du nord semblaient
indiquer que l'antenne s'enfonçait dans le toit (McAllister 2002).
Quand les enregistrements des positions avantageuses
Est et Ouest ont été visionnés, il était visible que la partie
du bâtiment supérieure à la zone d'impact penchait vers le sud
pendant que le bâtiment s'effondrait. (NIST, 2005)
Cependant, nous ne trouvons aucune analyse quantitative dans
le rapport qui montre que cette inclinaison de la partie du bâtiment était
suffisante pour expliquer l'affaissement de l'antenne bien visible
du nord, ou que l'inclinaison de la partie du bâtiment s'est produite
avant l'affaissement visible de l'antenne. En outre, les enquêteurs
de la FEMA qui ont aussi réexaminé les enregistrements de bande
vidéo de l'effondrement pris de divers angles « en sont venus tout
de même à la conclusion que « l'effondrement a commencé par une
ou plusieurs défaillances dans la partie centrale du cœur du bâtiment ».
(FEMA, 2002) L'analyse quantitative doit être faite et démontrée
pour résoudre la question.
Gordon Ross a écrit un article de recherche sur
l'effondrement du WTC 1, qui prend vigoureusement en compte la
conservation de la quantité de mouvement et d’énergie.
http://www.journalof911studies.com/
Il prouve que même si la tour a commencé à s'effondrer à cause
de l’incendie et des dommages, cela ne se serait pas achevé par
l'effondrement complet. Remarquez que l'effondrement
du bâtiment McCormick Place à Chicago est un exemple d'écroulement
seulement partiel d'une construction à armature d'acier à cause
de l’incendie. Le toit s'est effondré, mais puisque les murs de
ce bâtiment sont restés debout, cela n'est pas comparable aux effondrements
complets des trois gratte-ciel du WTC le 11/09/2001.
7. Comptes rendus des preuves visuelles de flammèches
et de bruyantes explosions
Plusieurs explosions violentes en succession
rapide, compatibles avec la démolition par explosif, ont été entendues
et rapportées par de nombreux observateurs à l'intérieur et proches
des Tours du WTC. Les pompiers et d'autres personnes ont décrit
des flammèches et des explosions dans les planchers supérieurs
près de l'entrée de l'avion, et dans les planchers inférieurs
du WTC 2, juste avant son effondrement, loin au-dessous de la
partie de la tour heurtée par l'avion (Dwyer, 2005). Par exemple,
au début de l'effondrement de la Tour Sud un présentateur principal
de Fox News a rapporté :
« Il y a une explosion à la base du bâtiment,
la fumée blanche provenant d’en bas...quelque chose s'est
produit à la base du bâtiment! Et puis une autre explosion. » (De
Grand Pre, 2002, souligné par nous, SJ.)
Le sapeur-pompier Edward Cachia a rapporté indépendamment
:
[Nous] pensions qu'il y avait comme une détonation
interne, des explosifs, parce qu'ils sont partis successivement,
boum, boum, boum, boum, et ensuite la tour est tombée. En fait,
cela a cédé à un étage inférieur, pas à l'étage heurté par l'avion. (Dwyer,
2005; souligné par nous, SJ.)
Et Stephen Gregory, Commissaire Assistant des incendies,
donne un aperçu supplémentaire :
Lorsque j'ai regardé dans la direction du Centre
Commercial avant qu'il ne tombe, avant que [la Tour] numéro 2 ne
s'écroule, j'ai vu un éclair à un niveau peu élevé. Dans ma conversation
avec le Lieutenant Evangelista, ne lui ayant jamais mentionné cela,
il m'interrogea et me demanda si je voyais des flammèches à un
niveau peu élevé devant le bâtiment, et j'étais d'accord avec lui
parce que je pensais à ce moment-là, je ne savais pas ce que c'était.
Je veux dire, que cela aurait pu être à cause du bâtiment s'écroulant,
des choses explosant, mais j'ai vu une flammèche et puis il sembla
que le bâtiment s'écroulait.
Question : Etait-ce ce au niveau le plus bas
du bâtiment ou en haut là où il y avait l’incendie ?
Réponse : Non, au niveau le plus bas du bâtiment.
Vous savez comme quand ils démolissent un bâtiment, comme lors
qu’ils font sauter un bâtiment, quand il s'effondre ? C'est ce
que j'ai pensé lorsque j'ai vu. Et je n'ai pas abordé le
sujet avec lui, mais il me l'a demandé. Il a dit je ne sais pas
si je suis fou, mais j'ai juste voulu vous demander parce que
vous étiez justement debout à côté de moi... Il a dit avez-vous
vu toutes les flammèches? J'ai dit, oui, je pensais que c'était
juste moi.
Il a dit non, je les ai vu, aussi… Je veux
dire, j’ai pensé que c’était l'écroulement du bâtiment accompagné de
la chute d’objets, cela aurait pu être des explosions électriques,
cela aurait pu être tout ce que vous voulez (Dwyer, 2005, Commissaire
Assistant Stephen Gregory FDNY WCT2 Dossier N° 91 10008 ; souligné par
nous, SJ.)
Il est très improbable que le carburant pour réacteurs était
présent pour générer de telles explosions, particulièrement sur
les planchers inférieurs, et longtemps après que les avions aient
frappé les bâtiments. Le Dr. Shyam Sunder, principal enquêteur
pour le NIST a déclaré : « Le carburant pour réacteurs brûle en
probablement moins de 10 minutes ». (Field, 2005)
« Les explosions électriques » seraient nettement
insuffisantes pour renverser un gratte-ciel à armature d'acier,
dans n'importe quel bâtiment construit selon les règles. D'autre
part, les explosifs placés à l'avance apportent une explication
plausible et simple pour les détonations observées suivies de l'effondrement
complet des bâtiments. On ne peut donc dire qu’ « aucune évidence » de
l'utilisation d'explosifs ne peut être trouvée. Cette question
pertinente doit être considérée comme une hypothèse scientifique
plausible et doit être étudiée en profondeur. « 118 témoins :
Le témoignage des pompiers des explosions dans les
tours jumelles sur
http://www.journalof911studies.com/ apporte
des détails significatifs concernant les reportages.
8. Ejection de poutres et de faisceaux de fumée
de débris d'acier des tours
L'éjection horizontale d'éléments d'acier de construction à une
trentaine de mètres et la pulvérisation du béton en poudre comme
de la farine, observées distinctement dans les écroulements des
Tours du WTC, apportent plus de preuves en faveur de l’utilisation
d'explosifs aussi expliquée ici:
http://911research.wtc7.net/talks/towers/index.html.
(Voir aussi, Griffin, 2004, chapitre 2.) Les faisceaux
de fumée ou les « amorceurs », observés loin au-dessous de la région
de pulvérisation, méritent donc une attention particulière. Ils
apparaissent tout comme les faisceaux de fumée observés sur ce
site :
http://www.implosionworld.com/cinema.htm (par
exemple, la démolition contrôlée des Tours Southwark)

Tour Nord pendant l'effondrement du haut vers
le bas.
Remarquez les mystérieux faisceaux de fumée horizontaux
loin au-dessous de la région de pulvérisation.
A la différence du WTC7, les Tours Jumelles semblent
avoir été détruites « du haut vers le bas »plutôt qu'à partir du
bas, ce qui est inhabituel pour la démolition contrôlée mais évidemment
possible, selon l'ordre de mise à feu des explosifs. C'est-à-dire,
que des explosifs ont pu être placés sur les plus hauts étages
des tours et avoir été mis à feu via des signaux radio afin d'avoir
en premier des explosions proches de l'entrée de l'avion dans la
tour. Cette hypothèse doit certainement être considérée de manière
sérieuse dans une enquête indépendante en utilisant toutes les
données disponibles.
9. Effondrement rapide et conservation de la
quantité de mouvement et d’énergie
L'équipe du NIST admet honnêtement que leur rapport « n'inclut
pas en réalité le comportement structurel de la tour après que
les conditions du début de l’effondrement ont été atteintes. » (NIST,
2005, p. 80, fn. 12 ; souligné par nous, SJ.) Il s’agit vraiment
d’une confession, puisque beaucoup de preuves externes de démolition
explosive viennent typiquement après le début de l'effondrement,
comme on le voit dans les cas de démolitions contrôlées avérées.
(Harris, 2000.) Le rapport du NIST pourrait s'appeler la « théorie
du pré-effondrement » officielle.
La chute rapide des tours et du WTC7 a été analysée
par plusieurs ingénieurs et scientifiques.
(http://911research.wtc7.net/wtc/analysis/proofs/speed.html;
Griffin, 2004, chapitre 2). Le toit du WTC 7 (les étudiants
et moi observons le coin sud-ouest au moment où il commence sa
chute régulière) tombe à terre en (6,5 ± 0,2) secondes, alors qu'un
objet lâché du toit (dans le vide) heurterait le sol en 6,0 secondes.
Ceci résulte de t = (2H/g)1/2. De même, les tours tombent
très rapidement à terre, avec la partie supérieure tombant presque
aussi vite que les débris éjectés, qui apportent des références
de chute libre
(http://911research.wtc7.net/wtc/analysis/proofs/speed.html;
Griffin, 2004, chapitre 2). Qu’en est-il du délai auquel on s'attendrait
en raison de la force d'inertie des masses, l'une des lois fondamentales
de la physique? Au moment où les planchers supérieurs en chute
heurtent les planchers inférieurs et les colonnes de soutien en
acier intactes, la chute devrait être sensiblement ralentie par
la masse heurtée.
Si les colonnes centrales de soutien étaient restées
debout, alors la masse inerte efficace aurait été moindre, mais
ce n'était pas le cas, d'une façon ou d'une autre, les énormes
colonnes de soutien ont failli ou se sont désagrégées tout le long
avec les pans des planchers en chute. Les articles révisés au préalable
qui analysent plus tard les effondrements du gratte-ciel du WTC
par le Dr Franck Legge, le professeur Kenneth Kuttler, Gordon Ross
et Kevin Ryan, sont conseillés et disponibles ici :
http://www.journalof911studies.com/
Comment les étages supérieurs tombent-ils si rapidement
pour ensuite garder leur quantité de mouvement et leur énergie
dans l’effondrement des bâtiments? La contradiction est ignorée
dans les rapports de la FEMA, du NIST et de la Commission du 11/9,
dans lesquels la conservation de l'énergie, de la quantité de mouvement
et la durée de chute n'ont pas été analysées.
Gordon Ross soutient que lorsque la conservation
de l’énergie et la quantité de mouvement sont pris comme facteur,
l’effondrement conduit par la gravité sera arrêté, pour que seulement
un effondrement partiel de la tour se produise (voir http://www.journalof911studies.com/,
Gordon Ross). Le paradoxe est facilement résolu par l'hypothèse
d'une démolition aux explosifs, qui a éliminé rapidement les matériaux
des étages inférieurs, y compris les colonnes de soutien en acier,
permettant un effondrement à une vitesse proche de la chute libre
(Harris, 2000).
De plus, ces explosifs expliquent aussi facilement
le renversement de la chute des tours que la poussière fine qui
s'ensuit pendant l'effondrement. Plutôt qu'un empilement avec bris
en morceaux du béton comme nous pourrions l'attendre de l'effondrement
progressif non causé par explosif (« théorie officielle »), nous
constatons que la majeure partie des matériaux des tours (béton,
tapis, acier, etc.) est convertie en poudre comme de la farine
PENDANT QUE les bâtiments s’effondrent. La chute des tours ne sont
pas des effondrements aléatoires typiques, mais très probablement
une série « d'ondes de chocs » d'explosions associées à l'emploi
du thermate incendiaire, du moins l'évidence pointe fortement dans
cette direction. L'hypothèse doit être explorée davantage.
Ceux qui souhaitent maintenir les lois de la physique
fondamentale inviolées auront peut être envie de jeter un coup
d'œil plus attentif. Prenez en compte l’effondrement de la Tour
Sud le 11 septembre :
http://www.911research.com/wtc/evidence/videos/docs/south_tower_collapse.mpeg
Environ 30 étages du sommet de la Tour Sud basculent.
Qu'arrive-t-il au bloc et à son mouvement angulaire?
Nous observons qu'à peu près 30 étages supérieurs
commencent à pivoter en bloc, vers le sud-est.
Ils commencent à se renverser, sans tomber verticalement
vers le bas. Le couple sur ce bloc est énorme à cause de la pesanteur,
de même que son mouvement angulaire. Mais ensuite et j’essaie de
comprendre, ce bloc s'est principalement transformé en poudre en
plein ciel! Comment pouvons-nous comprendre cette étrange réaction,
sans explosifs? Remarquable, stupéfiant et on exige une étude minutieuse
puisque les rapports financés par le gouvernement américain n'ont
pas analysé ce phénomène. Mais, naturellement, le rapport final
du 11 septembre du NIST « n'inclut pas en réalité le comportement
structurel de la tour après que les conditions du début de l’effondrement
ont été atteintes. »
(NIST, 2005, p. 80, fn. 12 ; souligné par nous,
SJ.)
En fait, si nous cherchons la
vérité en la matière, nous ne devons pas ignorer les données observées
pendant les effondrements réels des tours, comme l'équipe du NIST
admet les avoir ignorées. Mais pourquoi ont-ils suivi un procédé non
scientifique comme le fait d’omettre des données extrêmement pertinentes?
Les affaires sont frappées de contraintes politiques
dans ce qui est supposé être une recherche « publique et minutieuse ».
(Voir Mooney, 2005.)
C’est pourquoi, je vais avec les autres demander
une enquête ouverte et approfondie. J’espère que la communauté internationale
acceptera de relever le défi. Le champ est grand ouvert pour la
considération de l’hypothèse soulignée ici, en raison de sa négligence
dans les études financées par le gouvernement américain.
10. La démolition contrôlée « Implosions » requiert
des compétences
Les effondrements presque symétriques, à la verticale
vers le bas et complets du WTC 7 et des tours dérange en
particulier la théorie « officielle » selon laquelle les feux disposés
au hasard accompagné des dommages ont causé la totalité de
ces effondrements. Même avec des charges coupantes à haut niveau,
de tels résultats demande une planification et une expertise
considérables. Comme Tom Harris, une autorité dans ce domaine,
l'a expliqué :
Le principal défi pour provoquer l’effondrement
d’un bâtiment est de contrôler la façon dont il tombe.
L’idéal consisterait à voir si une équipe travaillant
aux explosifs serait capable de faire écrouler le bâtiment sur
le côté, dans un parking ou dans toute autre zone ouverte. C'est
plus facile d'exécuter ce genre d'explosion. Faire renverser un
bâtiment ressemble à l'abattage d'un arbre. Pour provoquer l’effondrement
du bâtiment vers le nord, les spécialistes font d'abord sauter
des explosifs du côté nord du bâtiment. Dans ce cas-là, les spécialistes procèdent à une
véritable implosion, démolissant le bâtiment pour qu'il s'effondre à la
verticale sur ses propres fondations (la surface totale à la
base du bâtiment). Cet exploit exige une compétence telle que
seulement une minorité d’entreprises de démolition dans le monde
peuvent réaliser.
Les spécialistes abordent chaque projet un peu différemment...
... [Les bons] le choix étant de faire sauter les colonnes au
centre du bâtiment avant les autres colonnes de sorte que les côtés
du bâtiment tombent vers l'intérieur... D'une manière générale,
les spécialistes feront d'abord éclater les colonnes de soutien
principales aux étages inférieurs et ensuite à quelques étages
supérieurs... [Remarque : les étages supérieurs tombent alors
comme une masse, provoquant « l'effondrement progressif », cela
est courant en démolition contrôlée.] (Harris, 2000 ; souligné par
nous, SJ.)
L'observation attentive de l'effondrement du WTC
7 (vidéo ci-dessus) démontre en premier lieu un « repli » du haut
vers le bas près du centre du bâtiment, impliquant la « traction » des
colonnes de soutien, ensuite les côtés du bâtiment tirent vers
l'intérieur pour que le bâtiment « s'effondre directement en bas
sur ses propres fondations » (Harris, 2000). Les faisceaux de fumée
des débris observés sur les planchers supérieurs du WTC 7 au moment
où l'effondrement commence semblent compatibles avec le découpage
explosif des soutiens de « quelques étages supérieures » comme
décrit ci-dessus. La FEMA a admis que le WTC 7 s'est effondré bien
confiné sur ses fondations.
L'effondrement du WTC 7 a causé un petit champ
de débris pendant que la façade était tirée vers le bas, suggérant
une défaillance interne et une implosion... Le rayon moyen
du champ de débris était d'environ 21 mètres. (FEMA, 2002, chapitre
5.)
Nous convenons bien sûr que l'effondrement du WTC
7 était une implosion extraordinairement exécutée, toutefois :
Cet exploit requiert une telle compétence que
seulement une minorité d’entreprises de démolition dans le monde
peuvent effectuer. (Harris, 2000; souligné par nous,
SJ.)
A prendre en compte : pourquoi des terroristes entreprendraient-ils
des effondrements à la verticale vers le bas du WTC7 et des tours,
alors que les « renverser » exigerait beaucoup moins de travail
et ferait beaucoup plus de dommages au centre de Manhattan? Et,
de toute façon, où obtiendraient-ils l'habileté nécessaire et l'accès
aux bâtiments pour [mettre en œuvre] une implosion symétrique?
Ces questions impliquent une enquête supplémentaire nécessaire.
Une personne qu'une enquête minutieuse devra interroger
est l'expert en démolition Mark Loizeaux, président de Controlled
Demolition, Inc. s’exprimant sur la manière dont les bâtiments
du WTC se sont écroulés, il déclare dans une interview : « Si
je devais provoquer l’écroulement des tours, je mettrais des explosifs
dans le sous-sol pour que le poids du bâtiment permette à la structure
de s'effondrer. » (Bollyn, 2002 ; souligné par nous, SJ.)
Exactement, les « explosifs dans le sous-sol » sont
conformes aux rapports du témoin oculaire sur des explosions en
bas des bâtiments avant l'effondrement (point 7 ci-dessus). Ce
serait aussi la manière efficace pour sectionner les colonnes de
soutien, compatible avec l'affaissement initial évident de l'antenne
de communication (Tour 1 du WTC) et le « repli » au milieu du WTC
au début de son effondrement. Oui, et comme le président de Controlled
Demolition, Inc., M. Loizeaux, connaîtrait la « minorité d’entreprises
de démolition dans le monde [qui] tenteraient » une démolition
ou une « implosion » contrôlée symétrique. (Harris, 2000).
Son entreprise, qui est certainement l'une de celles-ci,
a été louée pour effectuer le travail rapide de nettoyage à la
suite des effondrements des bâtiments.
En résumé, nous avons découvert une preuve substantielle
soutenant l’idée que les thermites étaient utilisés sur les colonnes
d’acier de la tour du WTC pour affaiblir les immenses supports
d’acier, peu avant que les explosifs achèvent la démolition. Nous
pouvons ensuite évaluer le montant des explosifs nécessaires
en comparant avec une démolition contrôlée continue. La démolition
explosive de la tour Repère.
Les charges explosives utilisées pour abattre la
tour Repère [115, 82 mètres de haut, 30 étages] pesaient
seulement 165 kilos, constitué de 90 kilos de gel à base de nitroglycérine
(60 %) dans des bâtons de 1-1/4 pouces et de 75,3 kilos de RDX
(un dérivé du C-4). http://www.acppubs.com/article/CA6325450.html
Les tours du WTC disposant de 110 étages, d’environ 589,
67 kilos d’explosifs par tour suffirait. Avec la taille du
WTC 7, 260 kilos seraient indiqués. Les vidéos citées ci-dessus
montrent le WTC 7 s’écroulant, en démolition contrôlée traditionnelle.
D’un autre côté, les tours étaient visiblement détruites du haut
vers le bas, ce qui bien qu'inhabituel est certainement possible
avec l'utilisation d'explosifs. En effet, pour les très hautes
tours comme celles-ci, la démolition descendante semble être
la meilleure approche, pour éviter de basculer sur la tour en
entourant les bâtiments.
Des explosifs comme le RDX, le HMX ou les superthermites,
lorsqu’ils sont pré-positionnés par une petite équipe d’opérateurs,
suffiraient pour couper les supports à des endroits clefs pour
que ces hauts bâtiments s’effondrent complètement avec peu de dommage
pour assiéger les bâtiments. L'incendie des charges est impliqué ici,
peut être en raison de l'utilisation d'allumettes de superthermite.
(Voir http://www.journalof911studies.com/JonesAnswersQuestionsWorldTradeCenter.pdf .)

En utilisant des signaux radio commandés par ordinateur,
il serait facile de commencer la démolition explosive proche du
point d’entrée des avions dans les tours (pour montrer que les
avions ont en quelque sorte commencé l’écroulement.) Dans ce scénario,
les charges coupantes auraient été placées à de nombreux points
dans le bâtiment, la plupart dans les colonnes clefs cruciales,
puisque personne n’aurait eu à sa connaissance à l’avance l’endroit
exact où les avions seraient entrés.
Ci-dessus : deux hommes installent une charge coupante
traditionnelle à la colonne d’acier, préparant une démolition contrôlée
du bâtiment. Remarquez la largeur / taille étroite de la charge
coupante explosive. De la chaîne History Channel : « Wrecking
ball – Modern marvels» (Boulet de démolition, merveille moderne),
merci à Robert Moore et au site http://piratenews.org/911con.html .

Si vous n’avez pas encore observé l’effondrement symétrique rapide
du WTC 7, pourquoi ne pas le faire maintenant? Observez le « coude
brusque » initial ou la chute au milieu, et ce qui concerne les « amorceurs » explosant
en série vers le haut du côté du bâtiment, et remarquez l'effondrement
symétrique et à la verticale vers le bas.
De plus, l’effondrement est rapide et complet,
avec le bâtiment tombant presque correctement sur ses propres
fondations. Toutes ces caractéristiques sont communes dans
les démolitions contrôlées. Observez les sur :
http://911research.wtc7.net/talks/wtc/videos.html
Davantage d'informations sont présentées d’un point
de vue sérieux et scientifique sur ce site : http://wtc7.net/
11. Les colonnes d'acier nécessitaient des températures
de 800°C : un problème pour la thèse de Bazant et Zhou
Un professeur en Génie Mécanique a suggéré que j'examine
un document de Zedenek P. Bazant et Yong Zhou, ce que j'ai fait.
Citation :
Les Tours de 110 étages du World Trade Center ont été conçues
pour résister dans l'ensemble aux forces provoquées par l'impact
horizontal d'un grand avion commercial.
Alors, pourquoi l’effondrement complet s'est-il
produit ? (Bazant et Zhou, 2002, p. 2.)
Correct. Les tours du WTC ont été conçues pour résister à des
forces provoquées par de grands avions commerciaux, nous sommes
d’accord sur cela. Thomas Eagar du MIT [Ntd : Massachusetts
Institute of Technology] est également de cet avis parce que le
nombre de colonnes perdues à l'impact initial n'était pas important
et les charges se sont déplacées sur les colonnes restantes de
cette structure très redondante (Eagar et Musso, 2001).
Nous continuons avec Bazant et Zhou :
La conflagration, provoquée par le carburant d'avion
renversé dans la structure, a provoqué l'exposition de l'acier
des colonnes à des températures soutenues excédant apparemment
800°C...
(Bazant et Zhou, 2002, p. 2.)
Mais nous remarquons cet élément du rapport récent
du NIST : « Les incendies initiaux de carburant pour réacteur
ont duré au plus quelques minutes » et les incendies du matériel
de bureau se propageraient pendant environ 20 minutes à un endroit
donné. (NIST, 2005; p. 179; souligné par nous, SJ.). La combustion
du carburant pour réacteurs n'était certainement pas suffisante
pour élever l'acier aux températures soutenues ci-dessus de 800°C.
Mais nous continuons :
Une fois que plus de la moitié des colonnes à l'étage
critique ont subi des déformations (étape 3), le poids de
la partie supérieure de la structure au-dessus de cet étage n'a
pu être soutenue plus longtemps, et de cette fçon la partie supérieure
a commencé à s'écrouler sur la partie plus basse en-dessous...» (Bazant
et Zhou, 2002, p. 2.) :
Bazant et Zhou n'expliquent pas comment « plus de
la moitié des colonnes de l'étage critique [ont pu] subir des déformations » en
même temps, précipitant l’effondrement complet et presque symétrique
observé. Les Tours du WTC ont été solidement construites avec un
cœur de 47 colonnes d'acier et 24 colonnes d’acier dans le WTC
7 (NIST 2005; NISTb, 2005).

Les Tours du WTC ont été solidement construites avec un cœur
de 47 colonnes d'acier et 240 colonnes d'acier de pourtour. 287
colonnes d'acier au total.
Beaucoup doutent que les incendies aléatoires et
les dommages aient pu causer leur effondrement directement vers
le bas (théorie officielle), et suspectent des explosifs.

Armature d'acier : Cœur (à gauche) est un énorme radiateur.
Observez les ouvriers debout sur le panneau du plancher, fermement
interconnecté aux colonnes du cœur.
Ils n'expliquent pas comment les températures dépassant
les 800°C des colonnes d'acier ont été atteintes presque simultanément
en brûlant des matériaux de bureau. Le NIST remarque que les matériaux
de bureau dans un secteur brûlent pendant environ 15 à 20 minutes,
ensuite ils arrêtent de se consumer (NIST, 2005, pp 117, 179).
Ce n'est évidemment pas assez long pour élever la température des
colonnes d'acier au-dessus de 800°C comme requis dans le modèle
de Bazant et Zhou, étant donné la présence d’énormes sources froides
thermodynamiques des structures. Et, avoir le même jour trois bâtiments
entièrement écroulés à cause de ce mécanisme improbable est difficile à croire.
D'ailleurs, le rapport Final du NIST sur les tours
admet :
Dans plus de 170 zones examinées sur 16 panneaux
de colonne de pourtour, seules trois colonnes démontrent que l'acier
a atteint des températures dépassant les 250ºC... Seuls deux spécimens
des colonnes du cœur avaient suffisamment de restes de peinture
pour permettre cette analyse, et leurs températures n'ont pas atteint
les 250°C.... En utilisant l'analyse métallographique, le NIST
a déterminé qu'il n'y avait aucune preuve que l'un des échantillons
ait atteint des températures dépassant les 600°C. (NIST, 2005,
p.176-177; souligné par nous, SJ.)
En rapport avec ce point, Eagar a remarqué que les « facteurs
tels que le volume de flammes et la quantité de suie diminuent
les pertes de chaleur par rayonnement du feu, décalant les températures
plus près du maximum de 1.000ºC ». (Eagar et Musso, 2001)
Bien qu’il s’agisse de la température de l'air maximale
possible dans les incendies du WTC, cela ne signifie pas que l'acier de
construction ait atteint cette température dans la durée d'action
des incendies. En effet, le NIST souligne qu'il n'existait aucune
preuve démontrant « que l'un des échantillons ait atteint des températures
dépassant les 600ºC ». Cette déclaration est cohérente avec leurs
données graphiques des « températures prévues des colonnes », qui « montre
la température maximale atteinte par chaque colonne », dans lesquelles
aucune température dépassant les 600°C n'est indiquée pour les
colonnes d'acier. (NIST, 2005.)
Quant au WTC 7, Bazant et Zhou en parlent peu mais
mentionnent dans un « addenda » séparé que la combustion du gaz
naturel aurait pu être une source de chaleur nécessaire (Bazant
et Zhou, mars 2002, p. 370). Le rapport de la FEMA (FEMA, 2002)
aborde cette question :
Les premiers récits des nouvelles indiquèrent qu'une
canalisation de gaz à haute pression, de 61 centimètres, était
située à proximité du bâtiment [WTC 7]; cependant, cela fut prouvé inexact.
(FEMA, 2002, chapitre 5 ; souligné par nous, SJ.)
12. Problèmes dans le rapport du NIST : températures
de l'acier insuffisantes et modèles faussés
J'ai lu du début à la fin les centaines de pages
que constitue le rapport final du NIST sur les effondrements des
tours du WTC. Il est intéressant de remarquer que le NIST a « découplé » et
retardé son rapport final sur le WTC 7, en retard d'écriture (NIST,
2005 ; NISTb, 2005). Je suis d'accord avec une partie du rapport
du NIST ; par exemple :
Le WTC 1 et le WTC 2 étaient stables après l'impact
de l'avion, restant debout pendant 102 minutes et 56 minutes,
respectivement. Les analyses globales des dommages structuraux
des impacts prouvèrent que les deux tours avaient une capacité de
réserve considérable. Cela a été confirmé par l'analyse vibratoire
après l'impact du WTC 2 où la tour endommagée oscilla à une période
presque égale à celle du premier mode, calculée pour la structure
intacte. (NIST, 2005, p. 144; souligné par nous, SJ.)
A n'importe quel endroit donné, les températures
voisines des 1.000°C [de l'air, pas de l'acier] ont duré environ
15 à 20 minutes. Le reste du temps, les températures calculées
furent proche des 500°C ou en dessous ». (NIST, 2005, p.
127, souligné par nous, SJ.)
Le NIST a engagé les laboratoires Underwriters
Laboratories, Inc. pour mener des essais afin d'obtenir
des informations sur la résistance au feu des armatures comme
celles dans les tours du WTC... Chacun des quatre échantillons
de test supporta la charge de conception maximale pendant environ
2 heures sans s'effondrer. » (NIST, 2005, p. 140, souligné par
nous, SJ.)
Cependant,
je proteste avec d'autres contre la théorie de l'effondrement du
NIST. Le NIST maintient que chacun des trois effondrements de bâtiments
a été amorcé par le feu malgré les observations ci-dessus, en particulier
du fait que les essais de résistance au feu avec des modèles réels
n'ont pas entraîné d'effondrement. Dans un document d'experts en
ingénierie du feu du Royaume-Uni, nous trouvons :
La base de la théorie de l'effondrement du NIST
est le comportement des colonnes dans l’incendie... Néanmoins,
nous croyons à une différence considérable de mouvement descendant
entre [les 47] colonnes du cœur et [les 240] colonnes du pourtour,
beaucoup plus grande que les 300 millimètres proposés, est requis
afin de vérifier la théorie de l'effondrement ... [Notre] moindre
confiance dans la protection passive contre les incendies est
en désaccord avec le travail du NIST, où l’importance de la protection
contre les incendies sur les éléments de l'armature serait un
facteur significatif définissant le moment de l'effondrement...[L'effet
proposé] est submergé par la dilatation thermique... et la
réponse de l'armature entière à cet effet n'a pas été décrite
jusqu'ici [par le NIST]. (Lane et Lamont, 2005.)
Je suis d'accord avec ces objections pointues, en
particulier sur le fait que la « réponse de l'armature entière » de
chaque bâtiment devrait être considérée, surtout le transfert vers
l'armature entière de la chaleur des feux localisés, et que les « colonnes
du cœur ne peuvent pas tirer les colonnes extérieures en dedans
par l'intermédiaire du plancher ». (Lane et Lamont, 2005)
Les modèles informatiques des tours dans l'étude
du NIST, qui incorporent de nombreuses caractéristiques des bâtiments
et des incendies du 11/09/2001, sont moins que convaincants. Le
rapport final déclare :
L'équipe d'investigation a ensuite défini trois
cas pour chaque bâtiment, en combinant des influences variables
aux valeurs moyennes, moins graves, et plus graves. Dans un examen
préliminaire des cas moyens, il devint évident que les tours
resteraient vraisemblablement debout.
Les cas moins graves ont été rejetés après
que les résultats de l'impact de l'avion aient été comparés aux événements
observés.
Les cas moyens (qui sont devenues le Cas A pour
le WTC 1 et le Cas C pour le WTC 2) ont été rejetés après que l'analyse
de la réponse structurelle des sous-ensembles principaux ait été comparée
aux événements observés. (NIST, 2005, p. 142; souligné par nous,
SJ.)
Le rapport du NIST est une lecture intéressante.
Les cas moins graves, fondés sur des données empiriques, ont été rejetés
parce qu'ils n'avaient pas comme conséquence l'effondrement des
bâtiments. Mais « on doit sauvegarder l'hypothèse », alors les
cas plus graves ont été considérés et les simulations ont été faussées,
comme nous l'avons lu dans le rapport du NIST :
Le cas plus grave (qui est devenu le Cas B pour
le WTC 1 et le Cas D pour le WTC 2) a été utilisé pour l'analyse
globale de chaque tour. Des ensembles complets de simulations ont été ensuite
effectués pour les Cas B et D. Dans la mesure où les simulations
ont dévié de la preuve photographique ou des récits de témoin oculaire
[par exemple, l'effondrement complet s'est produit], les enquêteurs
ont ajusté les paramètres d'entrée, mais seulement dans la portée
de la réalité physique. Par exemple, les forces de traction
sur les colonnes de pourtour par le fléchissement des planchers
ont été ajustées...(NIST, 2005, p. 142; souligné par nous,
SJ.)
Le premier rôle des planchers dans l'effondrement
des tours était de fournir les forces de traction vers l'intérieur
qui induisent le cintrage des colonnes de pourtour vers l'intérieur. (NIST,
2005, p. 180; souligné par nous, SJ.)
Quelle plaisanterie (peut-être) de fausser ainsi
le modèle, jusqu'à ce que le bâtiment s'effondre pour obtenir le
résultat désiré. Mais le résultat final de calculs hypothétiques
semblables faussés d'ordinateurs n'est pas contraignant.
Remarquez que « les forces de traction sur les
colonnes de pourtour par le fléchissement des planchers ont été ajustées ».
(NIST, 2005, p. 142 ; souligné par nous, SJ)
Pour que les colonnes de pourtour cèdent suffisamment,
on suspecte que ces-derniers aient été mal « ajustés » à la main
bien que les experts britanniques se soient plaints que « les
colonnes du cœur ne peuvent pas tirer les colonnes extérieures
[de pourtour] à l'intérieur par l'intermédiaire du plancher». (Lane
et Lamont, 2005; souligné par nous, SJ.)
Je suis aussi d'accord avec les objections de Kevin
Ryan concernant l'étude du NIST. Kevin Ryan, alors directeur de Underwriters
Laboratories (UL), a développé un point du non effondrement
des modèles réels basés sur le WTC dans sa lettre à Frank Gayle
du NIST :
Comme vous le savez j’en suis sûr, l’entreprise
où je travaille a certifié les composants d'acier utilisés dans
la construction des bâtiments du WTC. En demandant l'an
dernier des informations à notre PDG et au directeur commercial
de la Protection contre les Incendies, ils nous ont suggéré d’être
tous patients et de comprendre que UL travaillait avec votre équipe...
J'ai connaissance des tentatives de UL pour aider, y compris à la
réalisation d'essais sur des modèles de planchers. Mais les résultats
de ces essais indiquent que les bâtiments auraient dû facilement
résister aux contraintes thermiques provoquées par... la combustion
[du carburant pour réacteurs, du papier, etc.]. (Ryan, 2004)
Il est aussi admis dans le rapport final du NIST
que les modèles d'armatures du WTC soumises aux feux n'ont pas
cédé chez Underwriters Laboratories :
Le NIST a engagé les laboratoires Underwriters
Laboratories, Inc. pour effectuer des essais afin d'obtenir
des informations sur la résistance au feu des armatures comme
celles des tours du WTC.... Chacun des quatre essais soutenaient
la charge maximale de conception pendant environ 2 heures sans
s'effondrer...L'équipe d'investigation était circonspecte
sur l'utilisation de ces résultats directement dans la formulation
des hypothèses d'effondrement. De plus, l'escalade des questions
levées par les résultats des essais, les feux dans les tours
le 11 septembre, et l'exposition résultant des systèmes de
planchers, étaient considérablement différents des conditions
d'essais dans les fours.
Néanmoins, les résultats [d'essais empiriques]
ont établi que ce type d'assemblage était capable de soutenir
une grande charge de pesanteur, sans s'effondrer, pendant une
importante période de temps par rapport à la durée des feux à n'importe
quel endroit donné le 11 septembre. (NIST, 2005, p. 141 ;
souligné par nous, SJ.)
Ainsi, comment l'équipe du NIST justifie-t-elle
que le WTC s'effondre, alors que les modèles réels ne s'effondrent
pas et qu'il n'existe aucun exemple d'écroulement de tour causé par
l’incendie? Facile, le NIST a concocté des [résultats] hypothétiques
générés par ordinateur pour les cas très « graves », appelés Cas
B et D (NIST, 2005, pp. 124-138). Naturellement, les détails nous
sont généralement cachés.
De plus, ont-ils omis la considération de la nature
complète, rapide et symétrique des effondrements ?
A vrai dire, le NIST fait la confession renversante
dans une note en bas de la page 80 de leur rapport final :
L'investigation était focalisée sur l'ordre des
opérations depuis le moment de l'impact de l'avion jusqu'au déclenchement
de l'effondrement pour chaque tour. Par concision dans ce rapport,
cet ordre désignée sous le nom d’« ordre probable de l'effondrement »,
bien qu'il n'inclut pas en réalité le comportement structurel
de la tour après que les conditions de déclenchement de l'effondrement
aient été atteintes...(NIST, 2005, p. 80, F-N. 12 ; souligné par
nous, SJ.)
De nouveau, à la page 142, le NIST admet que leur
simulation sur ordinateur fonctionne seulement jusqu'à ce que le
bâtiment soit « sur le point de s'effondrer », ignorant donc toute
donnée à partir de ce moment.
Ces résultats étaient une simulation de la détérioration
structurelle de chaque tour à partir de l’impact de l’avion au
moment où le bâtiment est devenu instable, c’est-à-dire lorsqu’il était
prêt à s’effondrer : ...(NIST, 2005, p. 142; souligné par
nous, SJ.)
Et qu’en est-il de l'effondrement subséquent, complet,
rapide et symétrique des bâtiments? Qu’en est-il des amorceurs ?
Et qu’en est-il de l'antenne s'affaissant en premier dans la Tour
Nord ? Et à propos du métal fondu observé dans les zones de sous-sol
dans de grandes flaques dans les tours et le WTC 7? Ne vous inquiétez
pas de tout cela: Le NIST n'a traité aucune donnée après que les
bâtiments soient « sur le point de s'effondrer ». Bon, certains
d'entre nous veulent voir TOUTES les données, sans « boîte noire » de
simulations sur ordinateur qui sont « ajustées », peut-être pour
les adapter aux résultats désirés. Une hypothèse non réfutable
n'est pas scientifique. D'autre part, le rasoir d'Occam (ou le
principe de parcimonie) suggère que l'explication la plus simple
qui aborde et satisfait toutes les preuves soit probablement la
plus correcte.
13. L'échec du NIST à montrer les visualisations
Un article du journal New Civil Engineering (NCE)
prête appui aux inquiétudes concernant l'analyse du NIST des effondrements
du WTC. Il déclare :
Le NCE a appris que les enquêteurs [du NIST]
sur le désastre du World Trade Center refusent de montrer
les visualisations sur ordinateur de l'effondrement des Tours
Jumelles malgré les appels des principaux ingénieurs en construction
et en incendie. Des visualisations des mécanismes d'effondrement sont
systématiquement utilisées pour valider le type de modèle
d'analyse d'élément fini, utilisé par les enquêteurs [du NIST]. Le
mécanisme de l'effondrement ainsi que le rôle joués par l'armature
au sommet de la tour a été le centre du débat depuis que
le National Institute of Standards & Technology US (NIST)
a publié ses résultats...
Colin Bailey, professeur de l'University of Manchester [Royaume-Uni]
en Génie de Construction, a affirmé qu'il y avait beaucoup à gagner
en visualisant la réponse structurelle.
« Le NIST devrait vraiment montrer les visualisations
; autrement l'occasion de les corréler en retour aux preuves
vidéo et d'identifier toutes les erreurs dans la modélisation
sera perdue », a-t-il dit...
Un ingénieur en construction US principal a déclaré que
le NIST avait évidemment consacré d'importantes ressources au développement
des modèles d'impact et de feu.
« Par comparaison le modèle de construction global
n'est pas aussi sophistiqué », a-t-il dit.
« Le logiciel utilisé [par le NIST] a été poussé à de
nouvelles limites, et de nombreuses simplifications ont été réalisées,
des extrapolations et des appels au jugement ». (Parker,
2005 ; souligné par nous, SJ.)
Nous avons là de sérieuses inquiétudes en ce qui
concerne le rapport du NIST sur les effondrements du WTC, soulevés
par les ingénieurs en construction et en incendie, amplifiant les
arguments soulevés ici par un physicien.
Les treize points ci-dessus apportent des données
et des analyses scientifiques soutenant mon appel à une enquête
immédiate sur les événements du 11/09, tout en protestant contre
l'histoire officielle. D’autres considérations apportent davantage
de motivation pour l'enquête urgente proposée.
Facteurs à prendre en compte supplémentaires
« Questions brûlantes nécessitant des réponses »
Je suis d'accord avec cette estimation urgente et
néanmoins raisonnée des ingénieurs experts en protection des incendies,
dans l'éditorial audacieux du journal Fire Engineering :
Les membres respectés de la communauté de l'ingénierie
de la protection contre l’incendie commencent à déclencher l’alerte
rouge, et une théorie retentissante a vu le jour :
Les dommages structuraux des avions et l'allumage
explosif du carburant pour réacteurs n'étaient pas suffisants
pour provoquer l’effondrement des tours....
La science du feu a de bonnes raisons de croire
que « l'enquête officielle » bénie par la FEMA, et passée
devant l'American Society of Civil Engineers, est une farce à moitié cuite
qui a pu avoir été déjà réquisitionnée par les forces politiques dont
les intérêts primaires, pour les placer en douceur, restent très
loin de la pleine transparence. A l’exception du bénéfice marginal
obtenu de trois jours, de marche visuelle à travers les emplacements
de preuves conduits par des membres du comité d'enquête de l'ASCE,
décrits par une source proche comme un « voyage touristique »,
personne ne vérifiant la preuve pour rien.
Quelques citoyens ont pris la rue pour protester
contre la trahison de l'enquête. Parmi lesquelles, Sally
Regenhard qui veut savoir pour quelle raison et de quelle manière
le bâtiment s’est écroulé sur son malheureux fils Christian,
un sapeur-pompier à l'essai au FDNY [Ndt : Département du Feu
de New York]. Et nous aussi.
Il est manifeste qu’il existe de nombreuses questions
brûlantes nécessitant des réponses. Fondé sur la seule grandeur
de l'incident, à plein gaz, le financement total de l'enquête
légale est urgente. Plus importantes, d'un point de vue
moral, [sont les considérations] pour la sécurité des générations
présentes et futures... (Manning, 2002 ; souligné par nous,
SJ).
Cet éditorial ne mentionne pas l'hypothèse de démolition
contrôlée, mais fait légitimement objection à la destruction rapide
de l'acier de construction qui fournirait la preuve cruciale de
la scène du crime. Nous convenons qu'une telle destruction de preuve
est néfaste, et qu'une enquête minutieuse est urgente.
Pendant plus de trois mois, l'acier de construction
du World Trade Center a été et continue d'être coupé et vendu
en morceaux. La preuve cruciale, qui pourrait répondre à de nombreuses
questions sur les pratiques de conception de la construction
des tours et des performances en condition de feu, se trouve
sur un simple bateau pour la Chine, et ne sera peut-être
jamais revue en Amérique jusqu'à ce que vous achetiez votre prochaine
voiture.
Une telle destruction de preuve montre l'abasourdissante
ignorance des fonctionnaires du gouvernement sur la valeur d'une
minutieuse enquête scientifique concernant le plus grand
effondrement provoqué par le feu dans l’histoire. J'ai passé au
peigne fin notre législation nationale pour les enquêtes sur
les incendies, NFPA 921, mais nulle part on ne trouve une exemption
permettant la destruction de preuve pour des bâtiments hauts
de plus de 10 étages. (Manning, 2002 ; souligné par nous,
SJ).
Dans un éditorial de Fire Engineering, de
septembre 2004, Bill Manning critique le rapport de la Commission
du 11/09 et réitère son appel à une nouvelle enquête, l'objectif
principal de cet article étant également :
Les recommandations contenues dans le chapitre 9
du rapport de la Commission du 11/09, le chapitre relatif à la
réponse aux urgences, sont d'une manière décevante pauvres en détails.
Sûrement, la plus grande et la plus tragique réponse aux urgences
de l'histoire exige un effort investigateur plus intensif et plus
critique, d'autant plus que la Commission du 11/09 rassemble ses
efforts comme un « exposé définitif » de l'incident. Plus important,
la réponse communautaire, le public, et les héros tombés et
leurs familles, méritent la vérité nue, quelle qu’elle soit.
Occulter la vérité à des fins politiques est
méprisable en soi. Utiliser nos frères tombés pour accomplir
un tour de passe-passe politique n'est pas qu'un peu monstrueux.
Le traitement par la Commission du 11/09 de la
réponse aux urgences est une honte. Le service d’incendie et
le public doivent exiger qu'un nouveau corps d'investigation
soit rassemblé pour lancer une pleine, complète, et politiquement
impartiale enquête sur la question des réponses aux urgences,
amenant au, et incluant le désastre du 11/09. Ou n’avons nous
pas assez de volonté pour cela? En faire moins serait un mauvais
service aux 343 frères et à toutes autres bonnes gens qui ont
péri ce jour, un mauvais service à notre nation, et un mauvais
service à nous-mêmes. (Manning, 2004)
Analyse du dénonciateur Ryan
Kevin Ryan, le dénonciateur de Underwriters Laboratories,
a fait sa propre analyse statistique brève dans une lettre récente
concernant le rapport du NIST, en défendant la thèse selon laquelle
les probabilités du déclenchement de l'effondrement requises ont
besoin d'être calculées (Ryan, 2005). Le NIST ne fournit nulle
part de telle analyse de probabilité pour leur modèle d'effondrement
sans explosif. L'évaluation de Ryan sur la probabilité que l’incendie
et les dommages (« la théorie officielle ») puissent causer l'effondrement
complet des tours est de moins d'une chance sur mille milliards,
et la probabilité est encore bien moindre lorsqu’on inclut l'effondrement
complet du WTC 7 :
Pour suivre la dernière « principale hypothèse » [du
NIST], quelles sont les chances pour que toute l'ignifugation ait
fait défection exactement aux bons endroits, même éloignés du point
d'impact? Sans beaucoup d'essais, disons qu'il existe une chance
sur mille. Et quelles sont les chances pour que l'ameublement de
bureau se concentre sur l'approvisionnement des feux fortement
dirigés et (d'une manière ou d’une autre) aient forcé l'oxygène
des feux sur des points bien précis sur les colonnes restantes?
Est-ce toujours sur des milliers ? Quelles sont les chances pour
qu'ensuite tous ces points ramollissent à l'unisson, et cèdent
complètement, de sorte que la théorie fortement douteuse de « l'effondrement
global progressif » puisse être soutenue? Je n’essaierai même pas
de le deviner. Mais en conclusion, avec bien plus de cent incendies
de grands bâtiments à travers l'histoire, quelles sont les chances
pour que le premier, le deuxième et le troisième incident d'effondrement
causé par le feu se produisent tous le même jour? Disons qu’il
s’agit d’une chance sur un million. En considérant juste ces quelques
points nous regarderons celui qui avait une chance sur mille
milliards, en utilisant des évaluations généreuses, sans vraiment
prendre en compte le troisième bâtiment (aucun avion, aucun carburant
pour réacteurs, construction différente [le WTC 7]).
Combien est opportun que notre résultat miraculeux,
combiné avec plusieurs autres successions d'événements aussi improbables
[aucune interception des avions détournés par les militaires le
11/09, etc.], nous donne la raison d'envahir des pays les plus
importants stratégiquement pour la production de pétrole et de
gaz naturel... » (Ryan, 2005).
Et le NIST (ou la FEMA, ou la Commission du 11/09)
n'ont même pas mentionné que des métaux fondus furent trouvés dans
les sous-sols de chacun des trois bâtiments (WTC 1, 2 et 7).
Alors, où cela nous mène t-il? Cette histoire « officielle » ne
rime à rien.... Ce fait devrait représenter une préoccupation
considérable pour tous les Américains... Il n'y a aucun doute
sur le fait que les événements du 11/09 soient la ligne conductrice émotive
derrière la guerre contre la terreur.. Et la question de l'effondrement
du WTC est au cœur de l'histoire du 9/11. (Ryan, 2004; souligné par
nous, SJ.)
Le corps enseignant soutient l’enquête
J'ai présenté mes objections à la théorie « officielle » lors
d'une conférence à la BYU le 22 septembre 2005, à une soixantaine
de personnes. J'ai aussi apporté la preuve et les arguments scientifiques
en faveur de la théorie de la démolition contrôlée. Etaient présents
les corps enseignants de Physique, de Mécanique, de Génie Civil,
d'Electrotechnique, de Psychologie, de Géologie, et de Mathématiques
et peut-être d'autres départements car je n'ai pas reconnu toutes
les personnes présentes. Une université locale et un établissement
d'enseignement supérieur étaient représentés (BYU et Utah Valley
State College).
Cette discussion vigoureuse a duré presque deux
heures. Elle s'est seulement achevée lorsqu’une classe de l'université a
eu besoin de la salle. Après présentation du matériel récapitulé ici,
y compris l'observation et le débat sur les effondrements du WTC
7 et des tours, seul un participant était en désaccord (par vote à main
levée) pour exiger davantage d'enquête sur l'effondrement du WTC.
Le jour suivant, le professeur dissident a affirmé qu'il y avait
davantage réfléchi et qu'il était maintenant d'accord sur la nécessité d’une
enquête approfondie. Il a rejoint les autres en espérant que les
6899 photographies et les 6977 séquences vidéo détenues par le
NIST, plus d'autres détenues par le FBI, seront diffusées pour
un examen minutieux indépendant ; des photos en grande partie de
photographes privés (NIST, 2005, p. 81).
Par conséquent, je réclame avec d'autres la diffusion
de ces données à une équipe interdisciplinaire et de préférence
internationale de scientifiques et ingénieurs.
Contradictions dans les modèles « Officiels »
En dernier lieu, et en guise de révision, nous prenons
en compte les variations et les contradictions du modèle des effondrements
par l’incendie et les dommages causés avec le temps. Le premier
modèle, favorisé par diverses sources médiatiques, selon lequel
l’incendie dans les tours était à une température assez élevée
pour fondre réellement l'acier des bâtiments, provoquant aussi
leur effondrement. Par exemple, Chris Wise dans un article de la
BBC débita des idées fausses avec grande délectation : « C'est
l’incendie qui a détruit les bâtiments. Rien sur terre ne pourrait
survivre à ces températures avec cette quantité de combustible
brûlant... Les colonnes auraient fondu, les planchers auraient
fondu et en fin de compte ils se seraient effondrés les uns sur
les autres ». (cité dans Paul et Hoffman, 2004, p. 25)
Mais comme nous l'avons vu dans de sérieuses études
précédentes, la majeure partie du carburant pour réacteurs brûle
dans les minutes suivant l'impact. :
Votre intuition instinctive vous inviterait à penser
que le carburant pour moteur à réaction est responsable de l’incendie
si intense, beaucoup de personnes s’imaginent que c’est ce qui
fondu l’acier. Non, ce n’est effectivement pas ce qui s’est
passé, l’acier n’a pas fondu.
(Field, 2005; souligné par nous, SJ)
Nous avons ensuite le modèle de Bazant et Zhou,
qui exige que la majorité des 47 énormes colonnes d'acier sur un étage
de chaque tour aient atteint des températures soutenues de 800°C
et cèdent (ne fondent pas) en même temps. Mais comme nous l’avons
vu, il est très difficile d’atteindre de telles températures pendant
la combustion de matériaux de bureau, dans ces structures d'acier
reliées où la chaleur est dispersée au loin par le transfert de
la chaleur. (Paul et Hoffman, 2004, p. 26) Et ensuite se rompre
en même temps pour s'effondrer droit vers le bas, eh bien, non,
ce scénario est de loin trop improbable.
Cette approche a forcément été écartée dans la tentative
suivante, celle de la FEMA (FEMA, 2002). L'équipe de la FEMA a
en grande partie adopté la théorie du Dr. Thomas Eagar (Eagar et
Musso, 2001), qui a aussi été proposée dans la présentation de
NOVA « Pourquoi les tours sont tombées » (NOVA, 2002). Eagar formule
l'idée que « la défaillance de l'acier était due à deux facteurs
: la perte de résistance due à la température du feu, et la perte
de l'intégrité structurelle due à la déformation de l'acier sous
les températures non uniformes des feux ». (Eagar et Musso, 2001)
Au lieu d'avoir des colonnes cédant simultanément, la FEMA a des
pans de plancher de tours gauchis à cause des feux, et les raccordements
des étages aux poutres verticales se rompent, et ces planchers
tombent ensuite vers le bas sur les planchers de l'étage en dessous,
amorçant « l'effondrement progressif » ou l'atterrissage brutal
d'un plancher sur l'autre. Très simple. Mais pas aussi rapide,
qu'arrive-t-il aux énormes colonnes du cœur auxquelles les étages
sont fermement attachées? Pourquoi ne sont-elles pas restées debout
comme un axe, avec les planchers s'écroulant autour d'elles, puisque
les raccordements sont présumés s'être détachée? Ce cœur d'acier
relié ensemble est établi sur les fondations (schiste de Manhattan).
La FEMA n'ignore pas totalement le cœur :
Quand les étages se sont effondrés, ces grandes
parties autonomes ont quitté les parois extérieures et probablement
les colonnes centrales du cœur. Comme la hauteur non soutenue de
ces éléments de paroi extérieurs autonomes augmentait [plus aucune
mention de l'énorme cœur central !], ils ont gauchi aux raccords
des connexions fixés aux colonnes et se sont aussi effondrés. » (FEMA.
2002; souligné par nous, SJ)
En définitive, cette approche n'explique pas l'effondrement
observé des 47 colonnes du cœur reliées ensemble, qui sont énormes
et conçues pour soutenir le poids des bâtiments, et elle a la faiblesse
frappante d'avoir manifestement besoin de la rupture des raccordements
des planchers aux colonnes verticales, du cœur et des colonnes
de pourtour, plus ou moins simultanément.
Cela ne marche pas, alors le NIST retourne à la
planche à dessin. Ils exigent que les raccordements des planchers
aux colonnes verticales ne cèdent pas (contrairement au modèle
de la FEMA), mais plutôt que les planchers « tirent » avec une
force énorme, suffisante pour attirer de manière importante les
colonnes de pourtour en dedans, menant à la défaillance (contrairement
aux objections des experts en matière d’incendie de ARUP, discussion
ci-dessus). De plus, le NIST développe un modèle informatique mais
les cas réels ne mènent pas en fait à l'effondrement des bâtiments.
Alors ils « ajustent » les entrées jusqu'à ce que le modèle montre
finalement une amorce d'effondrement dans les cas les plus graves.
Les détails de ces « ajustements» nous sont cachés, dans leurs
modèles hypothétiques informatisés, mais « l'hypothèse est sauvegardée ».
Le NIST dispose aussi des modèles de construction de l'armature
du WTC de Underwriters Laboratories, mais les modèles résistent à tous
les feux dans les essais et ne s'effondrent pas. (Voir ci-dessus
pour des détails.)
Nous sommes laissés sans modèle décisif des dommages
de l'impact et de l’incendie, à moins qu'on accepte aveuglément
la simulation sur ordinateur du NIST tout en ignorant les modèles
d'essais aux feux, ce que je ne suis pas disposé à faire.
Le NIST n'a même pas effectué les visualisations
utilisées systématiquement pour valider leur modèle d'analyse des éléments
finis (point 13 ci-dessus). Et aucun des modèles « officiels » esquissés
ci-dessus n'explique ce qui arrive aux bâtiments APRÈS QUE le bâtiment
soit « au bord de l'effondrement » (NIST, 2005, p. 142), à savoir
des effondrements rapides, presque symétriques et complets. Les
rapports des explosions, entendus et vus, ne sont pas débattus.
De plus, ils ignorent les amorceurs vus éjectés loin de là depuis
les étages des jets percutants observés en particulier dans le
WTC 7 (où n'a heurté aucun avion). Enfin, et ce métal fondu sous
les tas de ruines de chacun des trois gratte-ciel du WTC, et ce
chaud métal fondu jaune blanc vu coulant de la Tour Sud juste avant
son effondrement ?
D’une manière remarquable, l'hypothèse de démolition
contrôlée explique très facilement toutes les données disponibles.
Les colonnes du cœur sur les étages inférieurs sont coupées en
utilisant des explosifs et des incendiaires, presque simultanément,
avec des charges coupantes enflammées au plus haut de sorte que
la pesanteur, agissant sur les étages désormais sans appui, permette
de faire descendre rapidement les bâtiments. Les effondrements
sont ainsi presque symétriques, rapides et complets, accompagnés
d’amorceurs, une affaire vraiment très courante pour des experts
en démolition.
Le Thermate (dont le produit final est du fer fondu)
utilisé sur certaines des colonnes d'acier explique facilement
la présence du métal fondu qui s'est ensuite groupé sous les piles
de ruines, aussi bien que le sulfitage de l'acier remarqué dans
le WTC 7 et dans les piles de ruines des tours (points 1 et 2 ci-dessus).
Je crois que c'est une hypothèse pertinente, beaucoup
plus probable effectivement que l'hypothèse officielle. Elle mérite
un examen scientifique minutieux, au delà de ce que j'ai été capable
d'esquisser dans ce traité.
Conclusions
J'ai attiré l'attention sur les insuffisances
scandaleuses des rapports « finals » financés par le gouvernement
américain. J'ai aussi présenté des preuves multiples en faveur
d'une hypothèse alternative. En particulier, la théorie officielle
manque de reproductibilité en ceci qu'aucun modèle concret ou
des bâtiments (avant ou depuis le 11/09/01) n'ont été observés
s'effondrant complètement à cause des mécanismes proposés, fondé sur
l’incendie. D'autre part, des centaines de bâtiments ont été complètement
et symétriquement démolis par l'utilisation d'explosifs placés
au préalable. Et les réactions chimiques à hautes températures
peuvent expliquer les grandes flaques de métal fondu remarquées,
sous les tours et le WTC 7, ainsi que le sulfitage de l'acier
de construction.
L'hypothèse de démolition contrôlée ne peut pas être écartée
comme une « science de pacotille » parce qu'elle satisfait
mieux à la reproductibilité et à la parcimonie des essais Elle
doit être sérieusement (scientifiquement) examinée et débattue.
Un panel véritablement indépendant, interdisciplinaire,
international, devrait être formé. Un tel panel considérerait
toutes les hypothèses viables, y compris la théorie des explosifs
placés avant, guidé non pas par des idées ou des contraintes
politisées, mais plutôt par des observations et des calculs,
pour arriver à une conclusion scientifique. Si possible, ils
interrogeraient, sous serment, les fonctionnaires qui ont approuvé le
rapide retrait et la destruction des poutres d'acier et des colonnes
du WTC avant qu'elles puissent être correctement analysées.
Aucune des études financées par le gouvernement
n'a fourni d'analyse sérieuse sur l'hypothèse de démolition explosive.
Jusqu'à ce que les mesures ci-dessus soient prises, l'affaire
d'accuser des Musulmans entraînés comme des malades, à l’origine
de toutes les destructions du 11/09/2001, est loin d’être irréfutable.
Cela ne rime précisément à rien.
Et ce fait devrait représenter une préoccupation
considérable pour les Américains. (Ryan, 2004). (Ryan, 2004).
Nous devons manifestement découvrir ce qui a vraiment provoquer
l’effondrement des gratte-ciel du WTC.
Les implications de ce qui est arrivé le 11/09/2001
dénoncent clairement des partisans politiques. La physique jette
la lumière sur le problème que nous ignorons à nos périls quand
nous contemplons les guerres qui ont eu lieu et qui peuvent encore être
justifiées sur la base de la tragédie du 11/09/2001 et de son
interprétation « officielle ».
A cette fin, le NIST doit diffuser les 6899 photos
et les plus de 300 heures d'enregistrements vidéo acquis la plupart
du temps par des partis privés qu'ils admettent détenir (NIST,
2005, p. 81). Les preuves concernant le WTC 7 et son effondrement
mystérieux ne doivent pas être dissimulées. En particulier, les
photos et les analyses du métal fondu observé dans les sous-sols
des deux tours et du WTC7 qui doivent être données immédiatement à la
communauté internationale des scientifiques et des ingénieurs.
Par conséquent, avec d'autres, je réclame la diffusion de ces
dernières et de toutes les données pertinentes pour un examen
minutieux par une équipe interdisciplinaire et internationale
de chercheurs.
L'hypothèse de démolition par explosifs sera
considérée : toutes les options seront envisagées.
POSTFACE
En écrivant cet article, je demande une enquête
sérieuse sur l'hypothèse que le WTC7 et les Tours Jumelles se sont
effondrés, non pas simplement à cause des dommages d'impact et
de l’incendie, mais à cause de l'utilisation vigoureuse planifiée
d'explosifs incendiaires. J'ai présenté des preuves suffisantes
en faveur de l'hypothèse de démolition contrôlée, qui est scientifiquement
testable et qui n'a encore été sérieusement prise en compte par
aucune étude financée par le gouvernement nord-américain.
En même temps, je reconnais que d'autres idées ont
germé dans le quasi vide des considérations officielles sur cette
hypothèse très plausible. Ces idées doivent être soumises à un
examen sérieux et attentif. Cela ne signifie pas que j'approuve
toutes ces idées. Un article datant de mars 2005 dans Popular
Mechanics, se focalisant sur des déclarations manquant d’arguments
solides, participe à ridiculiser le « 9-11 true movement » entier
(Chertoff, 2005). De sérieuses réponses à cet article ont été déjà écrites
(Hoffman, 2005 ; Baker, 2005 ; Meyer, 2005).
William Rodriguez a envoyé d'importantes informations
(communications privées, novembre 2005) que j'ajoute à la fin :
Merci beaucoup à vous de sortir un rapport remettant
en cause « l'histoire officielle » du 11/09. J'ai lu avec beaucoup
d'attention votre article et je l'ai largement distribué à toutes
les victimes et aux survivants à ce jour (je suis le chef de file
des familles et la dernière personne retirée des ruines de la Tour
Nord).
Vous avez juste raté mon expérience. Je me suis
adressé à la Commission du 11/09 au sujet des explosions et des événements
dans le deuxième sous-sol ce jour. Ils ne l'ont pas mis dans le
rapport final. Veuillez vérifier sur Internet sous « William Rodriguez
9/11 ». J'essaie de soulever les mêmes questions. Depuis que je
suis une figure mondialement respectée, j'ai remarqué comment mon
témoignage a été présenté à l'état brut partout dans le monde.
Mais aux USA je suis publié et, bien que je montre beaucoup de
respect envers les médias, je suis constamment sollicité pour d'autres
sujets et questions, mais jamais à ce jour au sujet des explosions.
Félicitations pour les aspects réellement atteints à ce jour. Continuez
vos recherches.
William Rodriguez Hispanic Victims Group, 9/11
United Services Group, Lower Manhattan Family Advisory Counsel
J'ai remercié M. Rodriguez et je lui ai demandé comment
il pouvait affirmer que l'explosion est survenue du second sous-sol
en dessous de lui, plutôt que vers le haut (à l’endroit où l'avion
a frappé), et aussi en ce qui concerne la synchronisation des explosions.
Il a répondu :
A propos de mon expérience. Ma base était, comme
je le disais à la Commission, qu'il y a eu une explosion provenant
d’en dessous nos pieds, qui nous a légèrement poussé vers le haut
par l'effet, j'étais au premier niveau du sous-sol et elle a retenti
comme si elle provenait des niveaux B2 et B3. Très vite, nous avons
entendu l'impact loin au dessus. Mes affirmations sont [que] mes
20 années d'expérience et témoignant en premier de nombreux autres
bruits [permettrez moi] de conclure sans aucun doute d'où venaient
les bruits. Une partie des personnes, les personnes que j'ai sauvées
ont apporté des témoignages dans des interviews sur la même expérience
avant que le mien soit réellement concilié au leur après l'événement!!!
Comme je l'expliquais, certaines de ces histoires de survivants
ont été racontées dans d'innombrable [interviews] pour les assurances,
mais en ESPAGNOL!! J'ai de vrais enregistrements disponibles de
quelques Television Specials qui présentaient nos histoires.
M. Rodriguez a travaillé pendant des années dans
le bâtiment et sa perception des bruits ne peut pas être négligée.
Il est un témoin digne de confiance. Cette remarquable affirmation
suggère fortement que la collision de l'avion, ou son carburant,
ne pouvait pas provoquer l'explosion (plutôt) dans le second sous-sol.
William Rodriguez et d'autres témoins peuvent apporter un indice
supplémentaire sur les explosions dans les tours le 11/09/2001.
Après avoir lu cet article, vous aurez peut être
envie de signer la pétition en demandant des informations au
gouvernement nord-américain à propos des évènements du 11/09/2001
:
http://www.thepetitionsite.com/takeaction/929981172?ltl=1141667399
(Cliquez sur « Voir la pétition complète avant
de signer.) »
Commentaires des lecteurs sur cet article
et recherche
REMERCIEMENTS
Je remercie avec gratitude les commentaires et les
contributions de Jim Hoffman, Alex Floum, Jeffrey Farrer, Carl
Weis, Victoria Ashley, William Rodriguez, , ainsi que des équipes
de chercheurs de http://www.scholarsfor911truth.org/, http://www.911truth.org/ et
http://www.physics911.ca/Main_Page ainsi
que les professeurs Jack Weyland, David Ray Griffin, James Fetzer,
Richard McGinn et Paul Zarembka.
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É
crit par le Dr Steven E. Jones Physicien et expert
en archéométrie.
Les idées énoncées dans cet article n'engagent
que la responsabilité de l'auteur.
Source : Why Indeed Did the World Trade Center
Buildings Completely Collapse?,
Steven E. Jones, Journal of 9/11 Studies Volume
4 - October 2006, http://www.journalof911studies.com/
Traduit de l’anglais par Florence Razimbaud, membre de Tlaxcala,
le réseau de traducteurs pour la diversité linguistique. Cette
traduction est en Copyleft : elle est libre de reproduction
pour tout usage non-commercial, à condition d’en respecter l’intégrité et
d’en mentionner sources et auteurs.
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