Décès dus à la rougeole en France. (Absence
de données pour les années 1922-1924 et 1937-1939.)
(Annuaire statistique de la France.
Entre 1906 et 1983, année du lancement de
la campagne de vaccination, le nombre de morts dus à la
rougeole est passé de 3 754 à 20, soit une diminution
de 9995 % malgré une augmentation parallèle de la
population de 33 % (Annuaire statistique de la France). Quel
intérêt y avait-il à vacciner toute la population
infantile ?
L'argument utilisé pour provoquer la peur des mères
a été la survenue possible de deux complications
graves liées à la rougeole : l'encéphalite
morbilleuse et la P.E.S.S., qui d'ailleurs peuvent se produire
aussi après la vaccination. Or, en 1934, année où la
rougeole tuait encore 1 349 malades, on pouvait lire « sur
plusieurs centaines de rougeoles que, depuis deux ans, nous avons
suivies à l'hôpital Claude Bernard, tant chez les
enfants que chez les adultes, il ne nous a été donné d'observer
qu'un seul cas d'encéphalite morbilleuse » En 1983, année du déclenchement de
la campagne de vaccination antirougeoleuse, il avait été enregistré 11
encéphalites postrougeoleuses et 12 P.E.S.S.
Où était donc l'impérieuse nécessité et
l'urgence d'organiser ces campagnes massives de vaccination
d'autant plus que le Pr Bastin faisait remarquer plusieurs
années auparavant : « II est évident qu'une
vaccination générale fait courir le risque de
rougeoles d'adulte et de rougeoles du nouveau-né plus graves.
Cette vaccination ne doit pas être systématique. »
D'après Le Quotidien du médecin citant
une étude
britannique, la létalité due à la rougeole
est minimale entre 5 et 9 ans (âge habituel autrefois
de la rougeole) mais elle est 4 fois plus élevée
chez les nourrissons de moins d'un an et 8,5 plus élevée
après 25 ans. Ces données n'étaient pas nouvelles
puisque les experts de l'OMS notaient, dès 1950 (!), que
ne connaissant pas d'agent capable d'immuniser contre la rougeole
(à l'époque), si un tel agent venait à être
découvert « son emploi devrait être limité, à moins
qu'il ne soit prouvé qu'il confère l'immunité pour
toute la vie au prix de risques très restreints. Une méthode
assurant une immunité de quelques années seulement
aurait pour effet de retarder l'apparition de la maladie (alors
que c'est pendant la seconde enfance qu'elle présente le
moins d'inconvénients et de dangers) jusqu'à l'âge
adulte, où elle a un caractère plus sérieux».
Persuadés qu'une dose d'un puissant vaccin atténué protégerait
toute la vie, les Etats-Unis ont planifié une vaccination à grande échelle
en 1965 et obtenu rapidement une chute spectaculaire des cas ;
mais, vers la fin des années 1980, leur nombre a commencé à réaugmenter
fortement avec une létalité plus élevée
et un déplacement vers les très jeunes nourrissons
et les adultes comme l'avait prédit le Pr Bastin 10 ans
auparavant. Cela a conduit les responsables américains à recommander
un rappel depuis 1989.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, un phénomène
identique s'observe actuellement en France et en Suisse, d'où la
campagne actuelle pour inciter à faire un rappel à l'âge
de 6 ans, en attendant peut-être un second rappel vers 15
ans.
Cette modification de l'épidémiologie de la rougeole
n'est paradoxale qu'en apparence. Elle s'explique très bien
par le fait que l'immunité vaccinale est moins durable
que celle conférée par la maladie. L'évolution
se fait alors en deux phases :
- Dans un premier temps, la vaccination confère une certaine
immunité. Le virus sauvage continuant à circuler,
les réinfections des sujets vaccinés jouent le rôle
de rappel et renforcent cette immunité. Le
groupe des sujets réceptifs diminue donc et le nombre des
cas chute.
- Dans la période qui suit, la circulation du virus sauvage
s'étant réduite en raison du moindre nombre de malades,
les réinfections
deviennent plus rares et le rappel qu'elles produisaient disparaît.
L'immunité vaccinale s'évanouissant au fil des ans,
il apparaît
progressivement
une population d'adultes non protégés, parmi lesquels
des femmes qui
ne transmettront plus d'anticorps au cours de leurs grossesses.
Les
nouveau-nés deviennent donc réceptifs au même
titre que les adultes.
Compte tenu de ces observations, une modélisation mathématique
a été réalisée pour prévoir
ce que deviendra la rougeole. Malgré toutes les campagnes
d'incitation à la vaccination, la couverture vaccinale pour
la rougeole n'est que d'environ 80 %. À ce niveau de couverture
et même si la revaccination à 12 ans était
bien acceptée, «on n'éviterait pas des épidémies
impliquant jusqu'à 200 000 cas tous les 4 à 5 ans».
C'est pourquoi la revaccination est proposée à 6
ans. Si la couverture vaccinale augmente et si la revaccination
est bien acceptée, « il semble qu'on n'empêche
pas une augmentation prochaine du nombre des cas, mais qu'aucune épidémie
d'importance n'apparaisse plus ultérieurement ». Comme
on le voit, la partie est loin d'être gagnée. Les
sommes englouties dans cette aventure, pour éliminer une
maladie réputée bénigne, ajuste titre selon
le corps médical lui-même, auraient sans doute été mieux
utilisées ailleurs.
On comprend donc pourquoi des épidémies de rougeole
sont déjà survenues dans des populations bien
vaccinées. Il s'en est produit plusieurs aux Etats-Unis
y compris dans des communautés scolaires vaccinées à plus
de 99 %. Au cours de ces épidémies, 30 à 100
% des cas de rougeole surviennent chez des vaccinés.
On trouve toujours une bonne raison pour expliquer les échecs
(vaccination trop tardive, vaccin pas assez puissant, etc.),
mais on a peine à penser que ces résultats n'amènent
pas une révision des politiques vaccinales. En France, outre
le déplacement de l'âge moyen de la rougeole, on observe
l'augmentation de la proportion des cas survenant chez les vaccinés,
passant de 3 % en 1985 à 27% en 1994.
Le même phénomène apparaît pour les oreillons
pour lesquels la proportion des cas survenus chez les vaccinés
est passée de 22 % en 1992 à 30 % en 1993, 37 % en
1994 et 61 % en 2001. En Suisse, cette proportion a même
atteint 75 %.
Bien entendu, le tiers-monde n'est pas plus épargné.
Parmi les exemples rapportés, citons l'épidémie
survenue à Harare (au Zimbabwe) où la couverture
vaccinale était de 83 %, et au cours de laquelle un tiers
des cas ont dû être hospitalisés, ce qui est
inhabituel. La rougeole serait-elle plus grave quand elle survient
dans une population vaccinée ?
On serait tenté de le croire également à propos
de l'épidémie survenue au Niger en 1992 où,
au cours d'une flambée en zone rurale, « on a observé avec
surprise que la vaccination ne semblait pas affecter le taux de
létalité de manière significative : 20,4 %
parmi les cas vaccinés, 16,7 % chez les non»vaccinés ».
On serait tout de même en droit de dire que la létalité était
nettement plus élevée chez les vaccinés.
Mais là encore il y avait une bonne explication à cet échec, « la
raison étant peut-être l'extrême chaleur qui
règne dans la région et qui rend très difficile
la distribution d'un vaccin actif». Alors, une fois de plus,
pourquoi s'obstiner à utiliser une méthode dont on
ne peut assurer les bonnes conditions d'application ? On sait pertinemment
que la gravité de la rougeole dans ces pays est renforcée
par la malnutrition, le déficit en vitamine A, une plus
grande fréquence de la diarrhée (due à la
mauvaise qualité de l'eau) et un manque d'hygiène
qui favorise les surinfections. Les rougeoles survenant dans ces
conditions sont graves en raison d'une part du déficit immunitaire
lié aux causes évoquées ci-dessus et
d'autre part à la profonde immunodépression provoquée
par la rougeole elle-même. Ne serait-il pas plus simple,
et certainement plus efficace, d'améliorer le niveau
de vie de ces populations ?
Et s'il valait mieux exprimer sa rougeole ?
Plusieurs études ont démontré que les
sujets n'ayant pas subi les maladies infantiles, et notamment
la rougeole, avaient plus fréquemment certaines pathologies à l'état
adulte. Ainsi, un article publié dans The Lancet en 1985 rapporte « une
association hautement significative entre l'absence d'éruption rougeoleuse et quatre
catégories de maladies : maladies immunoréactives,
maladies sébacées de la peau, maladies dégé-nératives
de l'os et du cartilage et certaines tumeurs ».
L'explication pourrait être la suivante. Comme tous les
virus, celui de la rougeole entraîne le développement
d'une immunité à médiation cellulaire.
Les enfants souffrant d'agammaglobulinémie (donc incapables
de former des anticorps) peuvent présenter une éruption
rougeoleuse et développer une immunité alors
que ceux qui souffrent d'une mauvaise immunité cellulaire
sont atteints d'une pneumonie à cellules géantes
sans développer d'éruption. De plus, on observe
que le virus rougeoleux disparaît des cellules de
la peau trois à quatre jours après le début
de l'éruption
.
On suppose donc que cette éruption est due à une
réaction immunitaire à médiation
cellulaire qui détruit les cellules infectées
de la peau. L'absence d'éruption correspondrait donc à un
déficit d'immunité cellulaire contre le
virus de la rougeole qui, persistant dans l'organisme, pourrait,
malgré (ou à cause de) la présence d'anticorps,
provoquer des troubles à l'état adulte. La présence
d'anticorps au moment de l'infection interférerait avec
la réponse immunitaire en altérant la réponse
cellulaire.
Cela a une conséquence pour l'immunisation des jeunes
enfants. En effet, pour ceux dont la primovaccination contre
la rougeole est précoce (avant 10 mois), la présence
d'anticorps induit un effet suppresseur à long terme
qui fait échec à la revaccination plusieurs années
plus tard. Ne risque-t-on pas un tel effet avec les rappels
prévus maintenant à l'âge de 6 ans chez
des enfants déjà vaccinés et donc en principe
porteurs d'anticorps ? Si tel était le cas, la
politique vaccinale entreprise il y a quinze ans serait un
fiasco encore plus grand. En voulant substituer à l'immunité naturelle,
solide et durable, une immunité vaccinale éphémère,
les vaccinalistes ont mis le doigt dans un engrenage redoutable.
Dès le départ, la réapparition de rougeoles
graves chez les nourrissons et les adultes avait été prédite.
Elle se concrétise actuellement. Mais ce premier échec
annoncé pourrait être renforcé si
les effets suppresseurs des rappels se confirmaient. Où sera
le bénéfice pour la santé publique et
pour les finances de la Sécurité sociale puisque
ces vaccins sont remboursés ?
Tiré du livre "Vaccinations, les vérités indésirables" édité aux éditions Dangles
De Michel Georget
Agrégé de Biologie, professeur honoraire des classes préparatoires aux grandes écoles biologiques
Les vaccins responsables de l'augmentation des cancers?
« Savez-vous que les estimations officielles de l'Organisation
Mondiale de la Santé (OMS) révèlent qu'actuellement,
50 % des hommes et 33 % des femmes auront un cancer dans le courant
de leur vie ? Savez-vous que des études épidémiologiques
effectuées à large échelle et sur la période
des 20 dernières années (1980 – 2000), études
validées par la communauté scientifique, ont révélé que
la chimiothérapie pratiquée dans la lutte contre
le cancer n'est efficace que dans 2 % des cas ? (Dans les 2% des
cas cela signifie que leur corps était assez fort pour se
guérir, et en même temps résister au poison
de la chimiothérapie et de la radiothérapie). Savez-vous
que, sauf cas de guérison « spontanée » du
cancer, la chirurgie utilisée contre le cancer connaît
20 % de récidive du cancer au même endroit et 80 %
d'apparition d'un autre cancer dans une autre région que
celle ayant subi l'opération ? Savez-vous que le cancer
frappe les personnes à un âge de plus en plus précoce
? Les raisons :
La 1er cause des cancers ce sont les vaccins,
après suive dans un ordre aléatoire, certains médicaments,
la pollution (les engrais, les pesticides), la nourriture, l’hérédité,
les produits que l’ont consomme indirectement, comme certains
savons, certaines lotions solaire, certains produits de beauté,
etc…. (Ce que l’ont met sur notre peau rentre dans
notre corps !), traitements hormonaux de la ménopause,
contraceptifs oraux, tabagisme; surcharge pondérale ou
obésité; sédentarité (manque d’exercice
physique); consommation abusive d’alcool, l’anhédonie
etc Les cancers
en Afrique étaient apparus cinq ans après les
premières campagnes de vaccination
Dr. Albert SCHWEITZER Prix Nobel Un corps sain peut traiter naturellement n'importe quel cancer.
Aucun traitement allopathique contre des cancers efficace n'existe
aujourd'hui. Quand les médecins emploient la chimiothérapie
et la radiothérapie, et quand certains des patients (un
petit pourcentage 2%) sont guéris (le plus souvent juste
en rémission, et rechutent plus tard) les médecins
dissent que leur traitement a guéri des personnes. C'est
un mensonge : ces personnes se sont guéries MALGRE la chimiothérapie
et la radiothérapie qui sont toxiques.
Cela signifie que leur corps était assez fort pour se guérir,
et en même temps résister au poison de la chimiothérapie
et de la radiothérapie. Si vous êtes diagnostiqué avec
le cancer fuyez ces "thérapies". C'est votre liberté fondamentale
de refuser un traitement, Si vous refuser le traitement et que le cancer vous
tue, vous serez sûr que ce n'est pas le traitement médical "officiel" qui
en sera responsable comme c'est le cas dans la grande majorité des
décès de cancer. |