La campagne annuelle de vaccination contre
la grippe bat son plein. Elle dramatise les risques d’une maladie
le plus souvent bénigne. Le spectre de la grippe aviaire est
brandi abusivement une fois de plus. Les épidémies
de grippe humaine des dernières années ont fait beaucoup
moins de malades que le nombre annoncé. Cette année,
les millions de vaccins commercialisés le sont sous neuf marques
par cinq laboratoires : un record. Les fabricants sont regroupés
au sein du GEIG (Groupe européen d’information sur la
grippe) qui, depuis 1979, avec la caution de quelques hospitaliers,
forme un lobby efficace. C’est ainsi que celui-ci a pu faire
vite oublier les quatre décès survenus après
cette vaccination en Israël en octobre 2006. Les vaccins incriminés
ont été blanchis en quelques jours, sans étude
sérieuse. Quant à la nouvelle controverse qui a éclaté cette
année, gageons qu’elle sera tout aussi vite étouffée.
Le 25 septembre 2007, le Lancet, publiait une étude retentissante
mettant en cause l’efficacité du vaccin antigrippal
chez les personnes âgées, à qui il est pourtant
prioritairement destiné. Le Dr Lone Simonsen et plusieurs
chercheurs des National Institutes of Health y expliquent qu’on
a largement exagéré les bénéfices de
la vaccination, dans la mesure où il est très difficile
de savoir si la grippe est réellement due aux virus influenza
ou à d’autres virus (contre lesquels ne protège
pas le vaccin). Les décès ne sont pas non plus correctement
comptabilisés étant donné que les personnes âgées
sont atteintes simultanément d’autres pathologies. Les
auteurs en concluent que l’efficacité globale du vaccin
n’est que de 23 % et non de 60 à 90%, comme l’annonce
l’Assurance maladie.
Source: http://www.medecines-douces.com/impatient/349nov07/vaccin-grippe.htm
La campagne 2008 de vaccination anti-grippe va démarrer
dans quelques jours selon les informations livrées, hier
soir, par la télévision, TF1 en l’occurrence.
Il est bon, de ce fait, de prendre connaissance, et de façon
urgente, de cette analyse du docteur Marie-Hélène
Groussace. A son propos, on m’a reproché de ne passer
que des informations de ce médecin. Je veux donc faire une
courte mise au point :
- Premièrement : J’ai totalement confiance en cette
femme courageuse qui n’hésite pas à mettre
sa vie en jeu pour nous prévenir des dangers graves que
nous courrons ;
- Deuxièmement : Tout le monde peut imaginer et comprendre
que, compte tenu des risques réels sur leur propre vie,
très peu de médecins ou chercheurs peuvent nous informer.
Le courage n’est pas le fait de tout le monde. Et puis, beaucoup
ont des familles à protéger. De ce fait, il est normal
que nous ayons peu de diversité d’auteurs. Mais en
fouillant un peu sur internet on peut trouver d’autres documents
allant dans le même sens, notamment des textes américains
ou canadiens.
Jean Dornac
Les redoutables vaccins anti grippe dont on ne parle qu’en
coulisse.
Nos amis les retraités en danger de dégénérescence
L’ouverture hier (13 novembre 2006) à Stockholm de
la cérémonie des Prix Nobel a vu le prix de Médecine
attribué à deux chercheurs américains, Andrew
Fire et Craig C. Mello, pour leur découverte des mécanismes
biologiques contrôlant les flux d’informations génétiques.
Leurs travaux originaux portaient sur l’étude des
ARN interférence double brin chez le nématode Caenorhabditis
elegans.
Le prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006, sur l’ARN
interférence, explique comment une régulation du
noyau et donc des gènes des cellules, est exercée
par des ARN double brin. Ces doubles ARN bloquent sur la chaîne
d’ADN certains gènes.
Le vaccin anti-grippe est constitué de fragments d’ARN
double brin, il bloque donc certains gènes. Ce dernier,
injecté à des personnes âgées, dont
les gènes des cellules se ralentissent ou diminuent leur
production, va donc bloquer certains gènes déjà déficients,comme
exposé par le prix Nobel.
Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au
premier plan desquelles les neurones ! D’où la floraison
actuelle grandissante des cas d’Alzheimer qui grèvent
le budget et la vie des citoyens et qu’on tend à nous
faire croire inéluctable et pourvoyeuse d’emplois
!
Faire à gogo du vaccin anti-grippe est aussi grave que
le vaccin hépatite B. Le faire chez le nourrisson comme
c’est programmé (élections présidentielles
obligent !) va entraîner, c’est prévisible,
des maladies par arrêt de fonctionnement de certains types
cellulaires mais surtout va retentir sur les neurones, complétant
le programme de dégénérescence de la population
entamé par le vaccin hépatite B !
Dr M-H Groussac – Recherches en Biologie Moléculaire
Dc Christian Velot Maître de conférence – Génie
Génétique
Professeur Herzog – Cancérologie
Et bien d’autres chercheurs et scientifiques de haut niveau.
Document transmis par le Dc Groussac le 12/11/06 à Mr Tomana
Hibakusha « irradié pour la France » et publié sur
son site lescobayesdelarépublique.fr le 14/11/06
Note
Précisions sur les vaccins anti-grippe : en 2005, 11 vaccins étaient
utilisés.
7 comportent des doubles ARN : Fluarix, Immugrip, Mutagrip, Prévigrip,
Vaxigrip (1+2)
N’en comportent pas : Agrippal, Fluvirine, Gripguard, Influvac,
MHG
Source: http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article1456
L’Hydroxyde d’Aluminium
L’Hydroxide d’Aluminium est un adjuvant des vaccins
destiné à stimuler la réponse immunitaire.
L’Aluminium est présent dans 25 vaccins couramment
utilisés en France, dont les vaccins diphtérie, tétanos,
polio, ainsi qu’hépatite A et B (650 à 1250
mg par dose, alors que les normes européennes fixent son
seuil à 15 mg par litre (sachant qu’au-delà il
y a toxicité et risques d’effets secondaires graves).
Source : www.e-monsite.com/aluminiumetvaccins
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